Des instants d’éternité :
Le 24 septembre 2021 :
Douzième jour d'audience
Procès - Jour 12 : l'audience est reprise :
#13novembre #procès Jour 12 pic.twitter.com/17VXiUVOJF
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre #procès Jour 12 pic.twitter.com/f79TrhymzZ
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre #procès L'audience est reprise.
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre Me Dorothée Bisaccia-Bernstein avocate de parties civiles demande que les parties civiles qui viendront déposer soient pour certaines dispensées de donner leur nom (au moins de famille) et qu'elles déposent en donnant leur prénom et une initiale par exemple.
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre Le président: "pour l'enregistrement historique aussi (l'anonymisation des parties civiles posent problèmes), Nous devons tenir un procès-verbal des débats"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre Me Dorothée Bisaccia-Bernstein "en quoi l'identité de ces parties civiles apportera des éléments (...) tout le monde à la liste, il y a un planning précis. Entendre Jérôme L. ou Bérénice B., je ne vois pas où est le problème"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Me Constance Dewavrin (PC) : "quand on est victimes du #13Novembre on a une étiquette dans la vie. Et certaines parties civiles n'ont pas forcément envie d'être reconnues par leur employeur, étant donné la surmédiatisation de ce procès".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
#13novembre Plusieurs parties civiles ont peur des représailles et n'ont pas envie de donner leur nom des accusés.
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre L'avocate générale :"nous comprenons ce souhait des parties civiles".
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
La défense : "on a tous dit qu'on voulait rester dans les normes. Là ça crée encore un précédent. Nous ça nous pose une difficulté. Savoir qui va déposer. Comment préparer nos questions?"
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Me Bibal avocat de la partie civile: "Je propose que nous ouvrions un onglet spécial dans le cloud pour alerter à l'avance le parquet et la cour les personnes qui ne veulent pas décliner leur nom"
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Plusieurs parties civiles ont fait savoir qu'elles ne viendraient pas déposer si elles étaient contraintes de décliner à la barre leur identité
Président : "je vais réfléchir à tout cela calmement ce week-end. Je n'ai pas encore pris ma décision. je vous ai tous entendus. Avec la précision que cela concernerait une dizaine de personnes."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Réactions sur la divulgation des identités des Parties Civiles
#13novembre Me Aurélie Soria revient sur la demande faite à l'audience par plusieurs avocats de parties civiles pour que leurs clients, victimes, n'aient pas à donner leur nom de famille quand ils viendront à la barre pic.twitter.com/soghypG3Rn
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre Me Aurélie Soria revient sur la demande faite à l'audience par plusieurs avocats de parties civiles pour que leurs clients, victimes, n'aient pas à donner leur nom de famille quand ils viendront à la barre (suite) pic.twitter.com/1aZyTJexSH
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre Me Aurélie Soria revient sur la demande faite à l'audience par plusieurs avocats de parties civiles pour que leurs clients, victimes, n'aient pas à donner leur nom de famille quand ils viendront à la barre pic.twitter.com/gFoRxQI3ts
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre Me Aurélie Soria revient sur la demande faite à l'audience par plusieurs avocats de parties civiles pour que leurs clients, victimes, n'aient pas à donner leur nom de famille quand ils viendront à la barre pic.twitter.com/1nTE4Zu07h
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre Me Aurélie Soria revient sur la demande faite à l'audience par plusieurs avocats de parties civiles pour que leurs clients, victimes, n'aient pas à donner leur nom de famille quand ils viendront à la barre pic.twitter.com/uIolv8eqQF
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre Me Aurélie Soria revient sur la demande faite à l'audience par plusieurs avocats de parties civiles pour que leurs clients, victimes, n'aient pas à donner leur nom de famille quand ils viendront à la barre pic.twitter.com/5fF0n8i0jO
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Analyse ADN, expert Olivier Pascal
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Olivier Pascal, expert et président de l'institut français des empreintes génétiques, est appelé à la barre.
L'écran géant est baissé.
Pour expliquer le principe des empreintes génétiques, l'expert fait la comparaison avec des trains : "chaque individu a 2 trains avec un certain nombre de wagons. Une personne peut avoir 2 wagons et 5 wagons, une autre 20 et 30 wagons. Notre travail c'est de compter les wagons".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Le travail a d'abord consisté dans l'identification de deux kamikazes et l'artificier présumé des attentats du #13Novembre , grâce à des vêtements, à des relevés dactyloscopiques ou à des prélèvements sur leurs proches.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
L'expert en génétique énumère les éléments sur lesquels ont été retrouvés les différents ADN dans la voiture Clio examinée : "un paquet de cigarette, un emballage de Mentos, une batterie Samsung, un papier de bonbon et l'appuie-tête avant gauche ...."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
L'expert en génétique explique "qu'un certain nombre de traces n'ont rencontré aucune comparaison" et sont donc restées anonymes. "Elles ont été envoyées au fichier national automatisé des empreintes génétiques".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Olivier Pascal,expert en empreintes génétiques:"Nous avons été sollicités sur tous les attentats pour analyser l'intérieur des armes,ça apporte souvent d'autres informations. Les individus ne pensent pas forcément à mettre des gants quand ils vont graisser des armes"
Olivier Pascal (expert) : "les conditions dans lesquelles vont être conservées les traces ADN font qu'elles vont disparaître rapidement ou perdurer pendant des années. Un briquet garder au fond d'une poche peut permettre d'extraire de l'ADN plusieurs dizaines d'années après."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Questions à l'expert Olivier Pascal
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Me Vettes, l'un des avocats de Salah Abdeslam : dans la Clio, l'ADN de Salah Abdeslam correspond à M1VLPK...Cet ADN a-t-il été retrouvé sur les Kalachnikovs?
Olivier Pascal, expert en empreintes génétiques: "Non nous ne l'identifions pas. "
L'expert a fini.
Gilets explosifs, expert Bruno Vanlerbergue
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Bruno Vanlerbergue, expert, Chef du pôle explosifs, interventions et risques chimiques du Laboratoire Central Préfecture de Police, est maintenant à la barre.
Bruno Vanlerbergue (expert) : "je vous propose de vous donner les grands principes d'un gilet explosif car tout le monde n'est peut-être pas expert. Il comporte 5 éléments : un déclencheur, un système électrique, l'initiateur, une charge explosive, et une enveloppe."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Bruno Vanlerbergue (expert) :"nous avons retrouvé un boutoir poussoir similaire pour chaque gilet [des attentats du #13Novembre ndlr], des fils double brins caractéristiques d'inflammateur, des piles de 9 volts".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
"La charge explosive était du TATP. Cet explosif est artisanal."
Alors que l'expert à la barre détaille la fabrication des gilets explosifs du #13Novembre 2015, le président intervient : "si les accusés dans le box pouvaient écouter. Je vois que ça discute. Il n'est pas question de vous interdire de communiquer, mais si vous pouviez écouter".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Bruno Vanlerbergue (expert) explique que les gilets explosifs utilisés le #13Novembre 2015 sont très similaires mais "je ne suis pas en mesure de vous dire s'ils ont été confectionnés par des personnes différentes" ou pas.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Questions à l'expert Bruno Vanlerbergue
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Le président: Sur l'explosif il a été question de sa stabilité. + le TATP est sec, + il est explosif, c'est ça?
Bruno Vanlerberghe :"Le TATP est un explosif extrêmement dangereux.1 explosif sec aura 1 vitesse de détonation beaucoup plus rapide qu'1 explosif humode"
#13Novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Bruno Vanlerberghe :"Sec très sec oui, ça peut arriver. S'est pour ça qu'on a des accidents si on a un produit très sec (le TATP)"
Bruno Vanlerbergue (expert) : "Le TATP est un explosif extrêmement instable, qui est assez mal connu. Il est extrêmement complexe à manipuler et on a peu de recul sur cet explosif, notamment en termes de dangerosité".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
#13novembre Le président : "Peut-on envisager que le gilet de Samy Amimour au Bataclan ou de Bilal Hadfi au Stade de France ait explosé de façon accidentelle?"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Bruno Vanlerberghe :"Je ne suis pas capable de vous répondre"
Assesseure : "fabriquer un gilet explosif est-il à la portée de tout le monde?"
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Bruno Vanlerbergue (expert) : "Hélas, il y a beaucoup de manuels disponibles sur Internet, des ouvrages dont je ne citerai pas les noms ici."
Président : "non, non, non".
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
L'expert indique que plusieurs sites Internet ont été "nettoyés" depuis les attentats et que trouver désormais des tutos sur Internet était devenu plus compliqué.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
2e assesseure : toutes les composantes d'un gilet sont en vente libre
Bruno Vanlerberghe : normalement l'eau oxygénée est contrôlée, l'acide chlorhydrique et l'acétone sont en grande surface...
Me Olivia Ronen, avocate de Salah Abdeslam souligne qu'il n'y a pas d'études sur le TATP.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Expert : "la réglementation nous interdit de fabriquer du TATP. On en fabrique des micros-quantité."
- Manier un tel produit pourrait exposer les vies de vos agents?
- Tout à fait.
Revendications des attentats, enquêteur SDAT99
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
SDAT99 costume sombre, chemise blanche, cravate, cheveux bruns : "L'Etat islamique accorde une importance fondamentale à la propagande"
SDAT 99 : "l'Etat islamique a créé une agence de presse qui a publié des communiqués, dans une vingtaine de langues, à chaque fois qu'un attentat a été commis. L'état islamique entend délivrer sur les masses un message d'adhésion chez ses adhérents et d'effroi chez ses ennemis."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
SDAT 99 : "à l'été 2014, l'Etat islamique va mettre en scène un bourreau, surnommé Djihadi John, qui médiatise des vidéos particulièrement macabres d'exécution d'otages. Ce sont ainsi huit otages qui sont exécutés de la sorte."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
SDAT 99 : "le caractère macabre va s'amplifier avec le temps, l'Etat islamique n'hésitant pas à mettre en scène des enfants. Un djihadiste français, Sabri Essid, apparaît dans une vidéo avec un enfant qui exécute un otage présenté comme un prisonnier israélien"
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
SDAT99 :"L'EI va diffuser des modes opératoires dans sa propagande en donnant des conseils extrêmement pratiques comme ici des attaques au camion bélier (des planches sont projetées à l'écran)"
SDAT 99 : "il en est fini avec l'Etat islamique le temps des cassettes VHS et des vidéos filmées rapidement dans les montagnes de Tora Bora. L'Etat islamique utilise des logiciels professionnels de montage vidéo, de retouche d'images pour produire des contenus de grande qualité".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
SDAT 99 : "l'Etat islamique reprend les codes de la culture occidentale : film, jeux vidéos etc."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
A partir de 2017, poursuit l'enquêteur, l'Etat islamique va se mettre à revendiquer tous azimuts des attaques a posteriori, parfois à tort pour certaines.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
SDAT99 : "L'EI ne revendique jamais un attentat quand son auteur est en fuite"
Résonne la voix de Jean-Michel Clain, qui chante "Avance, avance, sans jamais capituler ..."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Puis, Fabien Clain : "au nom d'Allah (...) dans une attaque bénie dont Allah a facilité les causes, un groupe de croyant a pris pour cible la capitale de la perversion : Paris"
A la fin de la revendication, on entend de nouveau le chant guerrier de Jean-Michel Clain : "avance, avance, sans jamais reculer, jamais capituler, Avance, guerrier invaincu ...."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
La salle est figée alors que l'anasheed résonne longuement dans la salle d'audience.
SDAT 99 : "cette fonction propagandiste, les frères Clain vont continuer à l'exercer tout au long de leur parcours en Syrie. Au-delà de cette fonction, les frères Clain avaient un rôle dans la conception et la préparation d'attentats."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
SDAT 99 : "autre élément qui nous interpelle : les cibles citées. Certains sont citées avec précisions : le Stade de France, le Bataclan.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Mais d'autres de façon plus évasive : les 10, 11, et 18 arrondissement. Or rien ne s'est passé dans le 18 arrondissement."
SDAT 99 : "le 30 novembre 2015, une nouvelle revendication est publiée dans le magazine Dar Al Islam."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
A l'audience est projetée la couverture du magazine de l'Etat islamique avec une photo de policiers et un titre : "la France à genoux"
SDAT 99 qu'il va diffuser la vidéo de revendication de l'Etat islamique "expurgée des scènes les plus insoutenables", en l'occurrence des scènes de décapitation. "Elle reste choquante", prévient l'enquêteur.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
#13novembre Plusieurs personnes quittent la salle. La vidéo commence sur les écrans. Apparaissent des images montrant les attaques à paris. Une voix chantée: "Pour Allah nous avons fait ce choix, tuer avec des coeurs remplis de joie"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
La vidéo se poursuit encore. A l'image : Manuel Valls, François Hollande. On été ajoutées sur les images des cibles rouges comme celles d'armes de visée.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Et toujours le commentaire : "attendez-vous à ce qu'un moudjahidin surgisse et vous tue".
Puis c'est l'appel des membres des commandos du Bataclan et du Stade de France de tuer "tous les kouffars" : "de leur écraser la tête avec une pierre, de les écraser avec votre voiture".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Et régulièrement apparait un message écrit : "tuez-les où que vous les rencontriez"
#13novembre La vidéo de revendication continue. Plusieurs terroristes apparaissent à l'écran,des otages agenouillés devant eux.Des scènes de décapitation insoutenables des otages (la vidéo a été expurgée, on entend le bruit du couteau, la scène n'est heureusement pas montrée)
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre La vidéo de revendication continue. Nouvelle éxécution. "Vous allez goûter aux mêmes souffrances que les femmes et les enfants ici" annonce un bourreau. "C'est un ordre de notre Emir de combattre dans vos terres",
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
#13novembre La vidéo de revendication continue.
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Dans le box, tous les accusés regardent la vidéo, sauf Farid Kharkhach.
SDAT 99 : "nous sommes face à une vidéo qui a nécessité plusieurs dizaines voir centaines d'heures de travail avec des logiciels professionnels. Les personnes filmées sont bien cadrées, la lumière est bonne, le son aussi grâce à des micro-cravate".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
SDAT 99 : "cette vidéo [de revendication des attentats du #13Novembre ndlr] reprend des codes occidentaux, par exemple le logo présent car c'est une obligation légale, sur les albums de rap américains. Elle reprend aussi les codes des jeux vidéos, du cinéma, des séries."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
SDAT99 repasse un passage de la vidéo où on voit Brahim Abdeslam s'entraine au tir. On entend alors: "Charonne, Bichat Voltaire, dix lions se révoltèrent"
SDAT 99 : "Abdelhamid Abaaoud [coordonnateur du #13Novembre ndlr] on ne comprend pratiquement pas ce qu'il dit mais il parle pendant près de 4 minutes sur cette vidéo. L'Etat islamique choisit de le mettre en avant car il est la figure médiatique de ces attentats".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
SDAT 99 : "ces revendications entendent délivrer un message précis : l'Etat islamique est un état doté d'une armée de combattants, capable de frapper l'ennemi quand il le décide, au nez et à la barbe des services de renseignements (...) avec des scènes filmées des mois avant".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
SDAT 99 : "L'Etat islamique utilise des BOT qui envoient de manière automatique ce type de vidéos [de revendication ndlr] sur des dizaines de comptes Telegram, de comptes Facebook etc. ce à quoi il faut ajouter les partisans de l'Etat islamique qui les partagent manuellement".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Questions à l'enquêteur SDAT99
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
SDAT99 sur le fait que les attaques n'aient pas été filmées par les auteurs "C'est une marque de fabrique qui est de plus en plus répandu dans ce genre d'attaque, avec des diffusions en direct de plus en plus souvent. C'est un soulagement que ça n'ait pas été fait"
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Avocat général:quand l'audio (des Clain le 14-11-15) évoque 8 frères, pour vous Salah Abdeslam est inclus?
SDAT99:tout à fait
Avocat général:il n'est pas question d'Abaaoud et Akrouh
SDAT99 : Non
Les 2 sont en fuite et seront neutralisés le 18-11-15 à Saint-Denis
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
Avocat général : 5 accusés dans le box ont séjourné en Syrie, selon vous, quelle est la probabilité pour qu'ils aient tourné une vidéo en Syrie avant de retourner en Belgique?
SDAT99 : s'ils avaient participé aux attentats, peut-être que des vidéos auraient émergé
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 24, 2021
SDAT99 : Si les auteurs des attentats du 13-11-15
avaient une vidéo des attaques du 13 novembre 2015, je peux dire avec une certitude quasi-absolue qu'ils ne se seraient pas privés de la publier. CC @LCI
Compte-rendu de l'audience J12
Le compte-rendu de l'audience du jour illustré par @ValPSQR est à retrouver ici > https://t.co/ivcebzl8uj
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 24, 2021
Le 23 septembre 2021 :
Onzième jour d'audience
Procès - Jour 11 : l'audience est reprise :
#13novembre #procès Jour 11
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Aujourd'hui nous avons Hagen au contrôle, qui vous salue. pic.twitter.com/62VAYCAjxN
#13novembre #procès L'audience va bientôt reprendre. Les accusés sont arrivés dans et devant le box.
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Très peu de parties civiles sont présentes dans la salle aujourd'hui.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Le président: Je vais demander au professeur Ludes d'approcher à la barre, avec un co-expert (une femme) que j'ai fait venir en vertu de mon pouvoir discrétionnaire.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Bertrand Ludes, 62 ans, directeur de l'institut médico-légal est à la barre.
Le 2e expert est anthropologue-légiste.
Institut médico-légal, Professeur Ludes
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Bertrand Ludes,directeur de l'institut médico-légal: Il s'agissait d'établir les circonstances de décès et de retrouver tout indice de crime ou de délit. Nous devions remettre aux enquêteurs tout projectile que nous aurions pu retrouver.
B. Ludes : "Le corps de la première victime est arrivée à l’IML le 14 novembre à 6h du matin et la deuxième à 10h50".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Bertrand Ludes,directeur de l'institut médico-légal: L'iML a admis 123 corps et 17 fragments de corps (d'autres ont été admis par la suite). Un magistrat du parquet était en permanence à l'IML pour suivre les opérations.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Bertrand Ludes,directeur de l'institut médico-légal: 49 scanners, 144 radios, 30 examens odontologiques ont été réalisés.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Bertrand Ludes,directeur de l'IML de Paris:nous avions 15 médecins légistes,2 médecins d'autres institues4 chirurgiens dentises, 6 radiologues, 3 balisticiens, 7 agents d'accueil, la psychologue clinicienne, 22 techniciens, 3 agents de propreté et 3 agents techniques
Bertrand Ludes explique que "dans une salle d'autopsie, il y a à peu près dix personnes. Deux médecins, deux enquêteurs, le photographe, le technicien qui nous assiste est expert balistique..."#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
Bertrand Ludes énonce les principales causes de décès : "lésions cérébrales et hémorragies massives".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
Bertrand Ludes que les autopsies ont été longues. Souvent huit heures par corps.#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Bertrand Ludes,directeur de l'IML de Paris, rappelle qu'il Il y a eu 69 autopsies
Questions au directeur de l'institut médico-légal, Bertrand Ludes
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Bertrand Ludes,directeur de l'IML de Paris: Nous avons pour un grand nombre de victimes un décès immédiat, parfois ça va jusqu'à 3 ou 4 minutes. (...) Quand vous avez plusieurs impacts, souvent les victimes avaient déjà perdu connaissance.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Président : pour les 3 victimes atteintes aux membres inférieurs
Bertrand Ludes,directeur de l'IML de Paris: Clairement ce sont des victimes qui se sont décédées d'hémorragie. Pour elles le délai est plus long que ce que j'ai indiqué.
Le président lui demande s'il n'a constaté que des blessures par balles ?
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
"Oui, monsieur le président".
Le président : "Est-ce que vous avez constaté des blessures par d’autres objets, comme un couteau ?"
Bertrand Ludes : "Non, monsieur le président".
Il est formel.#13Novembre
Une des assesseurs demande si des victimes ont été tuées avec des tirs à bout touchant ? Le médecin légiste ne peut pas répondre. Elle demande si les secours auraient pu sauver des victimes en arrivant plus vite ? Il ne sait pas.#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Avocate générale: Dans quel délai les opérations médico-légales ont-elles été accomplies?
Bertrand Ludes,directeur de l'IML: en 6 jours, à partir du 14 novembre. L'imagerie a commencé le 14, les autopsies le 15 et se sont terminées le jeudi soir.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Avocate générale: quel est le rôle de la radio et du scanner?
Bertrand Ludes,directeur de l'IML : le scanner donne en plus l'impact lésionnaire interne. La radio est très bien pour la localisation du projectile, pour le reste, c'est le scanner
L'avocate générale Camille Hennetier lui demande quels enseignements ont été tirés du #13Novembre à l'IML de Paris ? B. Ludes répond : "nous avons acquis des chambres froides pour augmenter la capacité d'accueil de 100 corps".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Me Bibal : Vous avez dit que les présentations aux familles ont été au-delà de ce délai de 6 jours. 156 présentations c'est beaucoup.
Bertrand Ludes, directeur de l'IML: IL y en a eu 154 dans la semaine du 14 au 21 novembre.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Me Bibal : vous avez dit que certains jours il y avait eu 43 présentations de corps.Les gens arrivent dans les tentes, qu'est ce qu(il se passe ensuite?
Bertrand Ludes, directeur de l'IML: IL y a eu forcément des moments d'attente
Me Bibal : "Comment ça se passe 43 présentations de corps dans une journée avec une seule salle ?"
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
B. Ludes répond : "les familles étaient reçues du matin jusqu'au soir".
Me Bibal rétorque que le temps était hélas très limité. Et s'en désole.#13Novembre
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Me Bibal:Vous avez eu des remontées des difficultés d'un certain nombre de familles...
Directeur de l'IML:j'en suis désolé,de ces délais et des ces circonstances dramatiques.Aujourd'hui,nous avons 1 façon de procéder qui est différente pour les catastrophes de masse.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Me Reinhart : Quand un corps arrive à l'IML, il possède ou non une pièce d'identité, vous commencé à travailler quand le corps a été identifié
Bertrand Ludes: directeur de l'IML:Non quand toutes les pièces d'identification ont été relevées.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Bertrand Ludes: directeur de l'IML: L'annonce ne doit pas être faite par nos agents mais comme des personnes ont appelé dès le 14 novembre, certains de nos agents ont fait les annonces décès ou dit qu'ils ignoraient si les corps étaient là ou pas et j'en suis désolé.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Me Reinhart:Chaque famille a indiqué que quand il rentrait dans la fameuse salle, ils avaient droit à 5 minutes.
Bertrand Ludes: directeur de l'IML: Si ça c'est passé comme ça, j'en suis désolé, confus.
Cris dans la salle de famille:"mais ça s'est passé comme ça!"
B. Ludes : "Des corps étaient sous X, donc à l’accueil les personnes ne pouvaient pas dire si le corps était pas là".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
B. Ludes : "On peut donner le temps pour se recueillir face à un corps. Si quelqu’un leur a demandé de partir au bout de trois minutes, c’est ma collègue clinicienne et je ne la vois pas dans cette démarche". #13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
Me Reinhart : "Vous nous avez expliqué qu’il y avait une glace pour des raisons de sécurité. La famille arrive dans la salle. On tire un rideau. On voit le visage derrière une vitre". Pour 100% des familles, ne pas pouvoir toucher leurs proches était terrible.#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
B. Ludes, ton froid : "C’est exact qu’à ce niveau-là les familles ne peuvent pas toucher leurs proches. Il n’y a pas de miroir. Il n’y a pas de rideau non plus. Le corps est présenté derrière cette baie vitrée avec un linceul".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
Me Mouhou : "La famille et les amis sont là. Il y a des cris, et en fait, ce c’est pas le corps. Vous imaginez le choc pour la famille !" Le corps de Lamia Mondeguer avait été confondu avec celui de Michelli Gil Jaimez.
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
Toutes deux assassinées à la Belle Equipe le #13Novembre
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Bertrand Ludes, directeur de l'IML: deux corps sont arrivés avec une identification erronée à l'institut. (...)
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Bertrand Ludes, directeur de l'IML: C'est ce cas-là, lors de ces événements de décès massif, qui nous a conduit à demander à ce que tous les corps soient admis sous X à l'institut médico-légal et qu'ils soient identifiés par la suite.
B. Ludes dit que depuis le #13Novembre, les choses ont changé, on n'entre pas et on ne sort plus par la même porte à l'IML de Paris.
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
L'avocate qui représente la famille d'une victime du #Bataclan demande à l'expert si ce jeune homme, Alban, a été torturé ? Ce que pense son père.
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
"Non", répond du tac-au-tac devant la cour d'assises.#13Novembre
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
La vue des scanners trouble de nombreuses personnes dans la salle.
Bertrand Ludes, directeur de l'IML, voulait montrer qu'il n'y avait pas eu de mutilation, comme le soutient le père du jeune homme décédé au Bataclan.
Réactions des Parties Civiles
#13novembre réaction de Me Reinhart après le témoignage de Bertrand Ludes, directeur de l'institut médico-légal pic.twitter.com/wD8s9RtB5l
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
#13novembre réaction de Me Reinhart après le témoignage de Bertrand Ludes, directeur de l'institut médico-légal (suite) cv @LCI pic.twitter.com/AADA6ajqYW
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
#13novembre réaction de Philippe Duperron, père de Thomas mortellement blessé au Bataclan et président de l'association 13onze15, après le témoignage de Bertrand Ludes, directeur de l'institut médico-légal cc @LCI pic.twitter.com/1oyE7E0Irc
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
#13novembre réaction de Philippe Duperron, père de Thomas mortellement blessé au Bataclan et président de l'association 13onze15, après le témoignage de Bertrand Ludes, directeur de l'institut médico-légal (suite) cc @LCI pic.twitter.com/O0ecEgO1Rz
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
Atelier victimes, superviseur SDAT005
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
SDAT005 : "J'ai été désigné pour superviser l'atelier victime du dispositif attentat, je l'avais déjà fait après le Thalys. Il s'agit d'améliorer la prise en charge des victimes"
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
SDAT005 : "L'identification des victimes est apparue comme une problématique centrale". Elle parle des pressions des "médias", des "réseaux sociaux", avec des photographies publiées, des informations erronées.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
SDAT005 : "Sur la scène d'attentat, le rôle de l'atelier victimes est de recenser les victimes, d'identifier les personnes décédées et d'orienter les blessés et les valides"
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
SDAT005 : "L'IVC est composé d'une cellule ante-mortem et d'une cellule post-mortem. La cellule ante-mortem recueille auprès des familles les éléments d'identification physique et biologique : tatouage, cheveux, bracelets, cicatrices..."
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
SDAT005: "la cellule post-mortem procède aux relevés de traces papillaires, prélèvements sur les corps, rassemblement des effets personnels, bijoux tatouages....."
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
A l'écran, sur la fiche de SDAT005, est projeté le terrible bilan des attentats du 13-11-15
Stade de France : 1 victime
Alibert: 13 victimes
Fontaine au roi: 5 victimes
Charonne: 21 victimes
Bataclan : 90 victimes
Blessés: 835 victimes dont 675 au Bataclan
CC @LCI
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
SDAT005: "On nous demandait une information immédiate. Mais la multiplicité des acteurs a engendré un manque de lisibilité pour les familles, surtout au cours des premières 24 heures"
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 23, 2021
SDAT005: "en état de choc, les familles peuvent prendre une dépouille pour celle de leur proche alors qu'il s'agit d'un autre"
Et elle évoque les cas d'erreurs qui ont eu lieu, en donnant des noms de victimes. #13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
La commissaire SDAT à la barre : "J’ai essayé de vous décrire objectivement les forces et les faiblesses du dispositif après les attentats. Je reste persuadée que le maximum a été fait"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
L'avocate générale lui demande à quel moment la police a pu identifier formellement chaque victime. La liste a été complète le 23 novembre 2015, répond-elle.#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
Compte-rendu du procés jour 11
Voici le compte-rendu web @franceinter de ce jour 11 au procès des attentats du #13Novembre avec les dessins de Valentin Pasquier @ValPSQRhttps://t.co/pAF1PgYNfS
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 23, 2021
Dates clés des neuf mois du procès :
L'émotion des policiers...
Les #policiers sont habitués aux drames et à côtoyer la mort dans leur métier.
— Officiers et Commissaires de police (@PoliceSCSI) September 22, 2021
Lors des procès, ils revivent ces instants, mais des images, des odeurs restent à jamais gravées dans leurs mémoires.#Bataclan #13novembre https://t.co/LcrA0TZmfO
Procès du 13 novembre : le patron de la BRI revient sur l'assaut qu'il a mené au Bataclan https://t.co/VABDjo0OUo
— CNEWS (@CNEWS) September 22, 2021
Entretien avec le patron de la BRI - diffusé le 09 sept. 2021
Associations d'aide aux victimes :
Site de l’Association Life for Paris, 13 novembre 2015.
Site de l’Association 13onze15.
Site de L’Association française des victimes du terrorisme.
Site de l'Association Fraternité-Vérité.
Guide pour l’indemnisation des victimes d’actes de terrorisme.
Un Procès pour l'Histoire
En hommage aux victimes "les enfants paradis" de Damien Saez :
Les 130 morts des attentats du 13 Novembre 2015 sur le titre "les enfants paradis" en hommage aux victimes de Damien Saez
Cette mélodie ne me quittera jamais...
— Nadia MOSTEFA (@NadiaRoberta34) September 8, 2021
Pensées aux victimes & parties civiles... 🙏#13Novembre2015 #13Novembre pic.twitter.com/1C1nsght5A
Des visages sur des noms, ces 8 prochains mois leur sont dédiés... https://t.co/MDLv6Yo5bb
— Stéphane Bommert (@StephaneBommert) September 9, 2021
A 8H dans la Matinale Info, l'ensemble de la rédaction s'est succédé pour lire les prénoms, noms et âges des 130 victimes des attentats du #13novembre 2015.
— RCJ RADIO (@RCJRADIO) September 9, 2021
Parce qu'il nous semblait essentiel aujourd'hui de prononcer leurs noms et pas ceux des terroristes. ⚖️ pic.twitter.com/LsDAXVAJxk
" L’essence même du procès criminel, c’est le respect de la norme, l’application de la procédure pénale et le respect des droits de chacun à commencer par les droits de la défense."
— Eric Maurel - Procureur Nîmes (@procureurNimes) September 8, 2021
Jean-Louis Peries,
président du procès des attentats du 13 novembre pic.twitter.com/wvXpWyF0I6
Bataclan, un procès pour l’Histoire :
Les dessous d’un procès historique :
Épisode 1 - La préparation des victimes :
Épisode 2 - Le travail des avocats :
Épisode 3 - Une salle d’audience sur mesure :
Épisode 4 - Des débats filmés pour les archives nationales :
Elisabeth de Pourquery sur le dessin de procès : "Vous voulez être le plus juste possible et en même temps c'est votre vision (...) C'est un art sur le vif"#Europe1 pic.twitter.com/3EyzoCD8I9
— Europe 1 🎧🌍📻 (@Europe1) September 14, 2021
Les Archives nationales de Paris (France).