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#13novembre Bruno, rescapé du Bataclan, est "surpris que l'on ne nous ait pas montré des images plus dures et plus fortes". "On a un devoir de mémoire et il faut raconter l'histoire" pic.twitter.com/UwcWyksAa7

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre Bruno, rescapé du Bataclan: "Le procès c'est 8 mois, 8 mois pendant lesquels je retourne dans le Bataclan, dans cet enfer.Autant que je trouve des réponses à mes questions" pic.twitter.com/WpcjZfoZwd

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre Bruno, rescapé du Bataclan " il y avait des images à montrer, des images qui sont dures mais qui hantent" les rescapés. pic.twitter.com/icc2ceDASw

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

L'audience a repris avec l'enquêteur qui répond à quelques questions des magistrats, de la cour, puis du PNAT, le parquet national antiterroriste.#13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

#13Novembre
Avocate générale: Le 14 novembre vous êtes rentrés à 5 heures dans le Bataclan, jusqu'à quelle heure ont duré les constatations?
Patrick, enquêteur de la Crim': "jusqu'à la fin de journée."

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Me Reinhart,avocat de parties civiles: Vous avez commencé vos constatations à 5h du matinn,vous avez dû attendre que le convoi présidentiel s'en aille. Vous ont-il retardé dans vos travaux en venant sur place?
Patrick, enquêteur de la Crim': La question piège...

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Enquêteur de la Crim':Oui il faut qu'un cortège passe, mais pas nécessairement un cortège de 50 personnes ! Le président,le ministre de l'Intérieur, de la Justice, oui... Mais la présence d'un certain nombre de conseillers ministériels est pour moi déplorable.

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre
Pas de question de la défense.

Le président; "nous arrêtons là cette semaine, nous reprendrons lundi à 12h30"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre
Stéphane, "papa de Hugo Sarrade",23 ans, mort au Bataclan: "Ça fait 5 ans que j'imagine une nuit sur 2 ou une nuit sur 3 ce qu'il s'est passé, ce qui a pu se passer... C'était imporant pour moi d'être là aujourd'hui, ça fait partie de mon travail de deuil." pic.twitter.com/ROS5oPDPPO

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre
Stéphane, papa d'Hugo,23 ans, décédé au Bataclan:"Hugo est parti parmi les 1ers. Manifestement là où il était,il a été fauché très très rapidement.C'était important de le savoir,savoir qu'il n'est pas resté tout seul dans un coin à attendre et à se vider de son sang" pic.twitter.com/iHEiqK22dr

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim': "Ici zone E, Alban, Christophe, Franck, Fanny, Mathieu, Mathias, Marion, Marie, Raphaël, Lola, Fabrice, Nathalie.."
Le policier énumère les noms des victimes du Bataclan, une liste interminable.Vive émotion. https://t.co/tRVpPRqs0d

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim': "Ici, il s'agit de la victime qui se trouvait dans le sas" Il donne son nom.

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim': "Au balcon vous vous souvenez que nous n'avions qu'une victime fort heureusement, Germain F. "

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre
Patrick, enquêteur à la Crim' :"il n'y a pas eu de mutilations au Bataclan, ni au couteau, ni à la fraise il y a eu des plaies balistiques terribles et c'est déjà horribles"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

Le policier : "Je voudrais terminer en disant que je m’associe de tout coeur aux parties civiles et que je leur souhaite énormément de courage pour la suite de ce procès". Le policier de la Crim qui vient de témoigner est au bord des larmes. #Bataclan #13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

#13novembre réaction de Thierry, rescapé Bataclan, après la diffusion d'images et d'un audio dans la salle d'audience pic.twitter.com/PH32fqQJsv

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre réaction de Thierry, rescapé Bataclan, après la diffusion d'images et d'un audio dans la salle d'audience (suite) pic.twitter.com/0pR9ffRrX7

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim', bouleversé: "quelques secondes qui durent une éternité"
La diffusion audio aura lieu dans 2mn.
Le président : "les personnes dans la salle ou qui écoutent la web radio peuvent prendre leur précaution"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

Le policier, gorge nouée, annonce le dictaphone d'un spectateur du #Bataclan. On ne va entendre que les premières secondes de cet enregistrement qui dure plus de 2h30. Ici "ça ne dure que 22 secondes qui durent une éternité"#13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim', ": A 21h47, les terroristes arrivent, ils courent derrière leur retranchement (...) Ils vont faire usage de leurs armes à de multiples reprises. 258 coups de feu en mode rafale et coup par coup en 32 minutes"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

Les nombreux survivants ou proches de victimes du #Bataclan ont retenu leur souffle. Sont restés très calmes. Juste avant la diffusion de la bande-son, la cour a rappelé qu'il y avait des psychologues, aussi pour les gens qui écoutent la web radio. #13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

A la barre, le policier lit des extraits de la suite de la bande-son. Il dit les revendications des trois terroristes du #Bataclan. Dit leurs ordres : "couche-toi ou je tire" Ou encore : "Nous, on est des hommes, on bombarde ici sur terre, on n'a pas besoin d'avions"#13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim', lit les revendications non sans mal proclamées par les terroristes pendant l'attaque.
Extraits : "Pourquoi on fait ça, vous bombardez nos frères en Syrie", "Viens ici toi", "ils tuent des femmes des enfants sans distinction",

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim', lit les revendications non sans mal proclamées par les terroristes pendant l'attaque. :"C'est terminé tout ça". "A l'heure où je vous parle, les soldats du khalifat sont partout."

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim':"Puis on entend,des bruits, des gens qui psalmodient, Allah Akbar, Allah Akbar, Allah Akbar. "
Plan fixe des caméras sur les accusés qui écoutent attentivement et fixent l'enquêteur à la barre.

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim' continue et explique que les terroristes demandent des talkie-walkie.Puis avec une voix violente, il imite l'un des terroristes qui crie à un interlocuteur face à lui :"Arrête-toi, casse-toi ou je fais sauter les otages"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

A la barre, le policier lit des extraits de la suite de la bande-son. Il dit les revendications des trois terroristes du #Bataclan. Dit leurs ordres : "couche-toi ou je tire" Ou encore : "Nous, on est des hommes, on bombarde ici sur terre, on n'a pas besoin d'avions"#13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

Le policier dit que 12 minutes après le début de l'attaque, il y a les tirs de 2 policiers de la BAC contre un 1er terroriste sur scène. Samy Amimour a alors explosé. Juste après, les deux autres terroristes ont "psalmodié Allahou Akbar", dit le policier à la barre.#13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim' : "122 tirs formellement attribués à l'arme d'Ismaël Omar Mostefai, c'est lui qui a le plus tiré. " Une autre arme a tiré 76 fois une autre 52 fois. 250 étuis percutés au total.
15 chargeurs dans le Bataclan

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim': "Concernant les constatations extérieures. Je vous avais parlé d'un corps bd des filles du calvaire que nous avons acheminé dans une laverie"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim':"Dans la rue des 2 côtés du passage St-Pierre-Amelot, des impacts multiples, 40 ou 50 étuis percutés rien qu'à la sortie du Bataclan"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Enquêteur à la Crim':"Là le corps de Stéphane, frappé d'1 balle dans le dos. Seule victime collatérale des faits, elle n'était pas rattachée au concert au Bataclan ce soir-là. Cette personne est décédée sans comprendre ce qui lui arrivait" https://t.co/pbLncGLJ0Z

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim' en vient à la voiture des terroristes retrouvée aux abords de la salle. Y seront retrouvé notamment un couteau avec une lame de 17cm, des empreintes, des documents au nom de Salah Abdeslam"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim', "Nous trouverons aussi des anasheed, par exemple, 'mourir en martyr'."

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre
Sébastien, rescapé du Bataclan:"je viens de découvrir que la partie dans laquelle j'étais, la fosse droite, était celle où il y avait le + d'amoncellement de corps.(...)Le sort a voulu que par la suite j'ai été otage, j'ai échappé plusieurs fois à a mort ce soir-là" pic.twitter.com/iz6eW1MyDL

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre
Sébastien, rescapé du Bataclan, commente la (brillante et très émouvante déposition) de l'enquêteur de la Crim':"Moi même j'ai fait abstraction que ce que j'ai pu voir, j'ai mis des oeillères en sortant du Bataclan" pic.twitter.com/5dqSpSaCS3

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre
Sébastien, rescapé du Bataclan, commente la revendication de Salah Abdeslam mercredi dernier : "on ne peut pas reprocher à un gouvernement de faire mourir des civils et des innocents en faisant la même chose" pic.twitter.com/as5RM1DkI7

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre
Sébastien, rescapé du Bataclan, espère se "réparer", "se reconstruire" "par la parole" pic.twitter.com/cCBlmV5eKk

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
À la barre, Patrick, 51 ans, costume gris, chemise claire, cravate noire, cheveux ras : "Je suis policier"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

Le policier expérimenté de la brigade criminelle : "Veuillez m’excuser si transparaît dans mon propos d’un peu d’émotion".#13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim': "Je suis désigné comme coordinateur de la scène du Bataclan. J'ai pour mission de faire la jonction avec les services d'autres districts de police judiciaire habitués aux scènes macabres pour pouvoir endurer "

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim': "A l'intérieur du Bataclan, c'est la sidération, vous vous retrouvez au milieu de victimes qui crient, qui hurlent, qui sont ensanglantées, qui veulent sortir, qui sont sur des chaises. C'est terrible. "

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

Une partie civile a quitté la salle d'audience principale. Elle pleure et crie. #proces13novembre

— Thibault Malandrin (@tibomalandrin) September 17, 2021

Le policier décrit les constatations au #Bataclan : "Nous arrivons dans la salle. L’ambiance est saisissante. Lugubre. C’est un endroit très haut. Aspect cathédrale. Les corps sont enchevêtrés. On avait jamais vu ça".#13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

"On n'avait jamais vu ça. On n'avait jamais vu ça. On marche au milieu du sang coagulé, des dents, des bouts d'os. On entend les téléphones sonner.
A l'étage des débris organiques partout et le demi-corps d'un homme. L'autre partie dans l'escalier." #proces13novembre

— Thibault Malandrin (@tibomalandrin) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim' : "Nous avons dans le Bataclan en interne 71 corps. Notre but n'est pas d'identifier les victimes. Pourtant mon téléphone n'arrête pas de sonner, on me demande si un tel est là, un tel. "

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

Le policier livre des descriptions cliniques, difficiles : au balcon "une main encore charnée dont le majeur a été fraîchement amputé. Cette partie de corps humain a volé consécutivement à l'explosion du terroriste sur scène, c'est vous dire la portée".#Bataclan #13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

Le policier : en zone J, là où 2 terroristes ont donc retenu 11 otages et où a eu lieu l'assaut final de la #BRI. "52 étuis percutés de calibre 7.62 dans la zone J".
7.62, calibre de kalachnikov.#13Novembre #Bataclan

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim' : Nous découvrons un dictaphone qui sera une pièce essentielle, et le corps d'un homme impacté à plusieurs reprises, un fusil d'assaut Kalachnikov Zastava.

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

Le policier : en zone A, "corps coupé en 2. Un homme type nord africain. Bas du corps constitué du bassin et des jambes. L’explosion de toute évidence a eu lieu sur la 2e marche de cet escalier". Corps d'un des kamikazes qui se fait exploser à l'assaut final#13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

L'enquêteur passe à la zone H : "Scène de chaos en trois dimensions. Tête désolidarisée de tout corps. Arrachée à la base du cou. Les traits du visage sont intacts". Le premier terroriste qui a explosé, sur scène. Visé par deux policiers de la BAC avant 22h.#13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

Le policier raconte "toute la hantise qui m’a guidé pendant ces constatations, passer à côté d’une victime blessée qui se serait mise dans un trou de souris". #Bataclan #13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

Le policier précise que les "tirs ont été mis à faible distance". Les terroristes ont tué leurs victimes en les visant de près. #Bataclan #13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

Zone B, près du bar : "Quatre hommes et trois femmes.
Cinq victimes côté salle. On a l’impression d’une exécution individuelle de ces victimes l’une après l’autre. Nous avons des corps enchevêtrés, côté droit", dit l'enquêteur #Bataclan #13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

L'enquêteur précise que la fosse est une zone si vaste pour les constatations que séparée en trois zones E, F, G. "La zone G contient les corps les plus gravement impactés par les terroristes. Les tirs des premières rafales. La distance la plus courte". #13Novembre #Bataclan

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

#13Novembre
Patrick, enquêteur à la Crim': "Tirer au 9mm sur un corps ne donne pas le même résultat que de tirer avec un 7.62. On a des plaies très très délabrantes,des crânes explosés, des dents explosées, des visages méconnaissables"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre2015
Aux abords du palais de justice #procès jour 8 #sécurité pic.twitter.com/2nb8Ogetss

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre2015 #procès Jour 8
Arrivée au palais de justice pic.twitter.com/RRVHLnogvu

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13Novembre #procès Jour 8 la salle d'audience vient d'ouvrir pic.twitter.com/In3sowgXgv

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

#13novembre #procès
Aujourd'hui, alors que des photos de la fosse du Bataclan et un audio vont être diffusés à l'audience, de nombreuses parties civiles sont présentes. La grande majorité porte un tour de cou rouge, signifiant qu'elles ne souhaitent pas répondre aux interviews.

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

Hier, lors des premières images projetées sur grand écran, beaucoup de psychologues étaient visibles dans les couloirs autour des bancs des parties civiles. Ils sont nombreux encore aujourd'hui. Et les bancs des parties civiles sont plus remplis qu'hier. #13Novembre

— Sophie Parmentier (@sophparm) September 17, 2021

#13Novembre
Ça sonne. Tout le monde se lève dans la salle.
Le président : "L'audience est reprise veuillez vous assoir"

— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 17, 2021

Cette mélodie ne me quittera jamais...
Pensées aux victimes & parties civiles... 🙏#13Novembre2015 #13Novembre pic.twitter.com/1C1nsght5A

— Nadia MOSTEFA (@NadiaRoberta34) September 8, 2021

Des visages sur des noms, ces 8 prochains mois leur sont dédiés... https://t.co/MDLv6Yo5bb

— Stéphane Bommert (@StephaneBommert) September 9, 2021

A 8H dans la Matinale Info, l'ensemble de la rédaction s'est succédé pour lire les prénoms, noms et âges des 130 victimes des attentats du #13novembre 2015.
Parce qu'il nous semblait essentiel aujourd'hui de prononcer leurs noms et pas ceux des terroristes. ⚖️ pic.twitter.com/LsDAXVAJxk

— RCJ RADIO (@RCJRADIO) September 9, 2021