Le 10 novembre 2021 : Quarante-deuxième jour d'audience
Procès - Jour 42 : L'audience est reprise
#Procès13novembre
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Semaine 10 Jour 42 pic.twitter.com/IR2xlByxLG
#Procès13novembre
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Semaine 10 Jour 42
A l'ouverture des portes rue de Harlay pic.twitter.com/yRxkkXx8Wo
#Procès13novembre
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Semaine 10 Jour 42
Salle comble ce mercredi pour la venue de @fhollande Énormément de journalistes, énormément de parties civiles (dont de très nombreux tours de cou rouges), énormément d'avocats.
Jour d'audition de François Hollande : réactions d'avocats de la défense
#procès13novembre voici ce que pense Me Ménya Atab-Tigrine avocate d'Ali el Haddad Asufi de la venue de l'ancien président de la République @fhollande pic.twitter.com/k6Y2BcLSpK
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#procès13novembre voici ce que pense Me @MartinMechin autre avocat d'Ali el Haddad Asufi de la venue de l'ancien président de la République @fhollande pic.twitter.com/nNWej7hzDT
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#procès13novembre voici ce que pense @MeJonathanDeTa1 autre avocat d'Ali el Haddad Asufi de la venue de l'ancien président de la République @fhollande pic.twitter.com/EMUhUMuGtE
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#Procès13novembre
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Le 10 septembre Me @raphkempf avocat de Yassine Atar nous expliquait pourquoi selon lui la présence de l'ancien président de la République n'était pas nécessaire à ce procès https://t.co/a8dMhQA1hW
Plaidoiries : des avocats s'opposent aux auditions de témoins dont celle de François Hollande
Le président : "Bien nous avons aujourd’hui deux témoignages prévus et il y a des avocats de la défense qui s’opposent à certains témoignages, je vais leur donner la parole"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
Me Marie Violleau dénonce le fait que cinq témoins soient appelés à déposer devant la cour : Mohamed Sifaoui, Georges Fenech, Gilles Kepel, Hugo Micheron @MicheronH, Bernard Rougier#13Novembre
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#13novembre
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Me Violleau, avocate de Mohamed Abrini:"Nous sommes là pour avoir qui sont ces gens, ce qu'ils ont fait, s'ils sont coupables ou pas: pour ça, on a des témoins, des experts, des policiers, des magistrats qui viennent"
#13novembre
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Me Violleau, avocate de Mohamed Abrini: "Les témoins sont acquis aux débats, ils vont devoir prêter serment de devoir dire la vérité. Quel rapport à la vérité ont des politiciens ou des sociologues".
#13novembre
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Me Violleau, avocate de Mohamed Abrini:"C'est un débat sur les faits. Il y a des règles à la cour d'assises. C'est essayer de vous instrumentaliser peut-être en oubliant quel est votre rôle. "
#13novembre
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Me Violleau:" Nous demandons non pas le respect des droits de la défense mais le respect des droits tout court"
#13novembre
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Me Ménya Arab-Tigrine :"Ils veulent que ce procès soit une tribune politique, je dis ils car le parquet général ne les a pas fait citer, une tribune idéologique"
#13novembre
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Me @MartinMechin rappelle qu'il "y a eu une commission d'enquête parlementaire"
#13novembre
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Me @MartinMechin :"J'ai même lu dans un article que c'était la première fois qu'un président de la République venait témoigner dans une cour d'assises, super, et alors".
Me Kempf, qui défend Yassine Atar s'oppose lui aussi à la venue de François Hollande. "On ne sait pas pourquoi les parties civiles souhaitent les faire citer"#13Novembre
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#13novembre
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Me @raphkempf : "Si ces témoins Kepel, Hollande, Micheron... étaient d'une importance capitale pour la manifestation de la vérité, je ne comprends pas pourquoi ils n'ont pas été cités pendant toutes ces années d'instruction"
Me Kempf : "Je défends un homme qui lui ne fait pas de procès politique, qui clame son innocence" #13Novembre
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#13novembre
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Me Vettes, avocat de Salah Abdeslam : "Je ne vois aucun inconvénient à ce que François Hollande soit cité, François est un témoin normal"
Me Xavier Nogueras rappelle que les terroristes du #13Novembre ont dit qu'ils voulaient frapper l'Etat français, "qui mieux que François Hollande représente l’Etat le #13Novembre ?"
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L'avocat de @LifeforParis Me Delas estime que François Hollande "est au coeur de ce dossier", il assure qu'aucune question ne sera posée à @fhollande en dehors de ce qui intéresse le procès #13Novembre
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#13novembre
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Me Chemla : "Vous avez dans le cadre de votre police de dire au témoin qu'il déborde mais vous ne pouvez pas dire 'non ce témoin je n'en veux pas'. "
Me Maktouf, avocate de parties civiles : "Je suis dans la même disposition que ma consoeur de la défense. Moi aussi j'ai peur aujourd'hui. Peur que l'on prive la cour". Elle pense que les experts tels @MicheronH peuvent éclairer la cour sur la pensée des accusés.#13Novembre
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#13novembre
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Me @samiamaktouf : "Il s'agit-là d'écarter que viennent témoigner à votre barre des témoins juger gênants pour la défense c'est pour cela que je vous demande d'accepter que ces experts viennent témoigner à votre barre".
Me Morice pense "utile à la manifestation de la vérité que M. Fenech soit entendu comme témoin"#13Novembre
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Me Topaloff : "Citer un témoin est un droit, on a pas à apporter l'opportunité", elle rappelle que le témoin doit juste être entendu sur les faits #13Novembre
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#13novembre
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Me @catherineszwarc : Citer des sociologues, vous en avez le droit en défense aussi. C'est légalité des armes. Légalité des armes aujourd'hui est parfaitement respectée".
Me Victor Edou, avocat de parties civiles, se lève pour un point de droit et rappelle que juridiquement, on ne peut empêcher la venue d'un témoin s'il s'exprime sur les faits, or on ne peut présumer avant ce qu'il va dire à la barre#13Novembre
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#13novembre
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Me @MaitreMouhou :"Le président de la République, j'ai des questions aussi à lui poser"
Me Reinhart au nom de @13onze15 après des débats au sein de l'association se rallie à @LifeforParis pour écouter @fhollande.
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
"Mais je constate qu'il va y 162 132 questions pour M. Hollande, on pourra entendre M. Kepel aujourd'hui ?"#13Novembre
#13novembre
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Avocate générale:"La question est de savoir si les témoignages d'un ancien chef de l'État,de chercheusr & du président de la commission d'enquête s'inscrit dans l'examen des faits. Il est prématuré de répondre à ces questions avant d'avoir entendu ces témoignages."
Arrivée de François Hollande
François #Hollande est entré dans la salle d’audience du Palais de #Justice pour témoigner au #procès #AttentatsDu13Novembre à #Paris #reuters #13Novembre2015 pic.twitter.com/C6JBjNdnPd
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Délibéré de la Cour
#13novembre
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Le président :"Bien, j'enlève mon masque pour la lecture de l'arrêt incident" (sur les citations de témoins dont François Hollande, Gilles Kepel, Hugo Micheron, Bernard Rougier et Mohamed Sifaoui)
#13novembre
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Le président rejette les demandes d'annulations des témoignages de Fenech Kepel, Rougier, Sifaoui et Micheron et Hollande donc.
Et le président demande à l'huissier de "faire entrer le témoin". #13Novembre
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Audition de François Hollande : Questions de la Cour
#13novembre @fhollande arrive à la barre
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Périès; "Bonjour Monsieur le Président"
Hollande: "Bonjour monsieur le président"
(Rires dans la salle)
Hollande est né le 12 août 1944.
François Hollande se tient droit à la barre, costume gris, cravate bleue, chemise blanche, lunettes. Petit sourire dans les yeux. "Mon nom est Hollande, mon prénom est François". #13Novembre
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#13novembre
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Hollande: "Ce témoignage je le dois à toutes les victimes, à toutes les familles, à tous ceux qui ont survécu (..) Je sais la souffrance que les victimes ont exprimé devant vous"
François Hollande estime que la France a été frappée "non pour nos actions à l’étranger, mais pour nos modes de vie ici même"#13Novembre
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#13novembre @fhollande :"Je suis prêt à répondre à vos questions"
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Le président lui demande de raconter sa soirée du #13Novembre. François Hollande dit qu'il n'avait pas prévu de se rendre au Stade de France, se décide quand la chancelière y va. "Un soir clément, une rencontre amicale"
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande indique qu'il ne devait pas aller au match le 13-11-15, que la menace était là mais pas plus que d'habitude. Il revient sur la 1ere détonation et pense très vite à la possibilité d'un attentat.
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Puis la première explosion l'inquiète, "j'ai pris conscience que nous pouvions être face à un attentat, à la deuxième explosion, je n'ai plus eu de doutes"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande "Nous sommes devant une action d'envergure. Mon premier souci était de sécuriser le Stade de France". Il demande à voir les images de l'attaque au Stade de France".
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#13novembre @fhollande "Je reviens à la mi-temps pour dire à ceux autour de moi de rester au stade alors que moi je vais devoir m'éclipser. je me rends au PC sécurité du ministère de l'Intérieur, à la cellule de crise. @manuelvalls m'y attend"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
François Hollande : "Je prends une décision de convoquer le conseil des ministres pour déclarer l'état d'urgence, je prends une 2e décision de fermer les frontières pour éviter que des terroristes puissent s'échapper, une 3e décision de faire libérer les otages"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :Je me pose la question de savoir si je me rends sur les lieux du Bataclan, ça ne doit pas compromettre les secours."
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :" Je vois des personnes sortir du Bataclan, le regard hagard, agrippés les uns aux autres. Elles me voient. je refuse d'entrer dans le Bataclan, ça n'est nui ma place, ni mon rôle. Je retourne à l'Elysée"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande cite les attentats de janvier 2015, Verviers, Villejuif, un chef d'entreprise égorgé en Isère, et plusieurs fois des appels qui nous laissent penser que des actions sont en cours, puis le Thalys"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Chaque jour nous étions sous la menace, le 12 novembre comme nous l'aurions pu l'être le 14.
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François Hollande : "Mais nous ne savions pas où ni comment ils allaient nous frapper"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "Nous savions que des actions se préparaient, que des chefs dont nous connaissons maintenant le nom préparaient des attentats, laissaient égorger des individus. Mais nous ne savions pas ni où ni comment ils allaient frapper"
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#13novembre @fhollande sur la menace du Bataclan "Il y avait une menace en 2009, le motif était antisémite. Durant mon mandat de Président je n'ai pas eu d'autres informations sur d'éventuelles menaces sur cet établissement".
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#13novembre @fhollande "le 13-11-15, je ne fais que donner un ordre : libérer des otages. Cela se traduit par des opérations qu'il ne m'appartient pas de vérifier. Je pense que c'est le préfet de police qui décide d'utiliser les moyens pour mener cet assaut"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"J'ai vu plus tard la polémique mais en réalité, les ordres ont été traduits comme il convenait. La Bri par ailleurs a été exemplaire, comme la Bac."
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"des hommes se mettent au premier rang, savent qu'ils vont être visés. Quand ces hommes ont épuisé tout le langage qu'il pouvait avoir pour négocier, ils ont fait preuve de courage et ont libéré tous les otages"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"On m'a assuré qu'il n'y avait pas de terroristes présents à l'intérieur du Stade. D'ailleurs j'ai regardé sur les écrans de surveillance s'il y avait dans les tribunes des mouvements de panique et il n'y en avait pas"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande entre janvier et novembre, des mesures ont été prises par la France et l'Europe, dont la Loi sur le renseignement. Nous avons amélioré les services de la DGSI et la DGSE: 1100 emplois"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande "Nous avions dès 2012 mis beaucoup de moyens. Après nous sommes conscients qu'il y a eu sur le plan du renseignement des difficultés à pouvoir connaître quand et où nous allions être frappés"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
François Hollande à la barre #proces13novembre #proces13novembre2015 sous l'oeil de Salah #Abdeslam pic.twitter.com/gbcVIgEkHz
— Elisabeth de Pourquery-Parmentier (@PourqueDe) November 10, 2021
Audition de François Hollande : Questions des avocats des Parties Civiles
Me Delas, avocat de @LifeforParis interroge François Hollande sur les revendications des terroristes du #Bataclan, l'avocat précise qu'on a entendu dans ce prétoire ces revendications et le nom de Hollande prononcé par les terroristes. A-t-il entendu cette bande ?#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande dit avoir eu connaissance de cette bande récemment. Il savait que son nom était cité. "C'était une formule apprise par eux, une signature, comme si les commanditaires leur avaient demandé de dire cela quand ils tuaient"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Ils cherchaient non la fracture mais la rupture. Tout mon travail a été de préserver l'unité nationale et souligner que nous étions comme un bloc, un roc qu'on n'ébrecherait pas"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande "Ensuite ce groupe faire pression sur le Kurdistan irakien. Ils font appel à la France. Je décide alors d'intervenir en Irak mais pas en Syrie, car nous ne sommes appelés par personne"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Aujourd'hui, je ferais exactement la même chose parce que c'est la France, nous le devons pour ces victimes massacrées, égorgées. Une solidarité que nous devons avoir envers des peuples massacrés, égorgé"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Quand j'ai su qu'il y avait des camps d'entraînement pour nous attaquer, nous avons bombardé. Bombardé quoi? Pas des civils mais des camps d'entrainement"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "La décision de frapper a été prise en septembre 2014 pour l'Irak et le 7 septembre 2015 pour la Syrie. Cette date est importante pour le procès. Le commando s'était décidé bien avant que je ne décide de frapper sur la Syrie"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "Nous étions certains à partir de début 2015 que Daech voulait nous faire la guerre, préparait des actes, commettait des actes. Il nous fallait aussi faire la guerre dès lors qu'on nous attaquait. On nous a fait la guerre, on a répondu"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Delas a une question sur Abaaoud.
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
François Hollande : "A ma connaissance, je n'ai eu le nom d'Abaaoud qu'en août 2015, comme organisateur des attentats. Vous me direz, est-ce que vous avez su qu'il était en Europe ? Non."#13Novembre
Me Delas lui parle du livre "Un président ne devrait pas dire ça"... A-t-il donné un ordre en amont d'abattre des terroristes ? François Hollande répond qu'il fallait "se protéger", et "ordre a été donné de neutraliser certains"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "Il y a forcément un échec quand il y a un attentat. Mais combien d'attentats aussi ont été déjoués? Il faut le dire aussi".
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
François Hollande : "Je pense que beaucoup de victimes qui sortaient du #Bataclan ne pouvaient même pas imaginer ce qu'il s'était passé ailleurs. Stupeur partagée. Mais il n'y a eu aucun échange" de mots ce #13Novembre. Il a revu des survivants après.
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande confirme avoir été alerté du risque de surattentat possible le 13-11-15
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Delas : "Chacun sait que votre prédecesseur, le président de la crise financière, votre successeur de la crise pandémique, et vous le président des attentats"...
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
François Hollande : "Je n'avais pas prévu ces lois antiterroristes, c'était pas dans mon programme" #13Novembre
#13novembre @fhollande :"Mais chaque mandat présidentiel est marqué par une crise, il faudrait d'ailleurs prévenir les prochains candidats. (rires dans la salle) (...)Aujourd'hui c'est la crise sanitaire, demain la crise climatique..."
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Ce dont je suis le + fier c'est que les Français ne se sont pas divisés". Il se souvient des défilés dans les rues de Paris après les attentats de @Charlie_Hebdo_ ,Montrouge, et l'HyperCacher"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
François Hollande : "Quand on me demande mon plus grand souvenir du quinquennat, quand 4 millions de personnes ont défilé après l'attentat contre @Charlie_Hebdo_ Vous avez remarqué, pas de défilé après le #13Novembre. Il fallait qu'on se tienne debout"
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Vous avez remarqué qu'après le 13 novembre il n'y a pas eu de défilé mais il fallait au moins que nous nous tenions droit, que nous fassions bloc. Je ne voudrais pas que le phénomène de secousse de ricochet, ce soit maintenant que nous nous divisions"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Maktouf demande si "la menace a été prise suffisamment au sérieux pour éviter ces attentats ?"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"mais nous n'avions pas hélas l'information pour empêcher les attentats du 13-11-15. Nous n'avions ni connaissance des lieux qui pouvaient être la cible et ni, même si nous connaissions les individus, su quand et comment ils allaient agir"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :" "Je n'ai eu connaissance d'aucune liste fournie par des régimes syriens. Comment auraient-ils pu savoir ce qu'il se passait dans une partie du territoire qu'ils ne contraient plus"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"La France n'a jamais eu de coopération avec le régime syrien et il n'y a jamais eu de quelconque liste (de Français djihadiste en Syrie)"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Salah #Abdeslam, au 42e jour de ce procès #13Novembre n'est plus à sa place habituelle, dans le box de verre des accusés. A cette place, François Hollande aurait été directement devant lui. Là, Abdeslam à moitié caché, on le voit même mal. Mais est-ce fait exprès ?#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
Il est arrivé que d'autres accusés changent ponctuellement de place. Mais jamais encore #Abdeslam. #13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
François Hollande est interrogé plusieurs fois par un avocat de parties civiles qui veut savoir si le 4 septembre en conseil de défense, a été tranché qu'on renonçait à des cibles djihadistes comme Abaaoud pour éviter des victimes civiles.#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Abaaoud était identifié depuis le mois d'août comme le principal organisateur, le chef de la coordination, il y en avait d'autres. "
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "Le 7 septembre, décision est prise d'élargir notre intervention à la Syrie, 27 septembre, première frappe, d'autres sont arrivés bien plus tard"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "C'est très difficile ce que font les pilotes de la coalition quand il s'agit d'une frappe. Les terroristes s'entraînent dans des immeubles où se trouve de la population civile, pour nous dissuader de le faire"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Sur cette décision de frappe, je peux vous assure que les choses ont été prises en temps et en heure".
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Le magistrat souligne qu'il faut répondre face à la cour, devant une cour d'assises, "et puis c'est filmé, et j'a cru comprendre que vous avez beaucoup de candidats... pour votre audition"
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
Sourires.#13Novembre
François Hollande : "Les terroristes n'ont pas un service de renseignement" très élaboré. Et l'ex-président de rappeler que ce #13Novembre, il décide d'aller au Stade de France au dernier moment, sa réunion s'étant terminée plus tôt que prévu.
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
François Hollande : "Je peux vous donner une leçon d'expérience. Le terrorisme islamiste, c’est un mélange de détermination, de préparation et d’improvisation"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Sur le Bataclan j'ai rappelé qu'il y avait eu en 2009 une menace très précise sur fond d'antisémitisme. Ca n'a pas eu lieu, il n'y a pas eu de suite"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "Leur mission était de tuer, tuer et tuer encore; S'il avait fait froid le 13 novembre, ils auraient visé autre chose que les terrasses, et si ça n'avait pas été le Bataclan, ils auraient pris une autre salle"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : Si nous avions eu connaissance d'une quelconque menace ce soir-là sur une salle de rock, alors nous aurions interdit tous les concerts ce soir-là".
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande à Me Morice : "vous saviez qu'il y avait cette menace sur le Bataclan en 2009"
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Me Morice: "oui"
M. Hollande :" Et bien alors pourquoi ne pas avoir demander à ce que soit fermée cette salle?"
François Hollande : "Sachez bien que je respecte profondément les parents des victimes, penser qu'un de leurs enfants a pu mourir dans une salle de concert, mais nous n'avions pas de menace particulière sur le #Bataclan" en 2015#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
Et Me Morice veut insister. Le président de la cour le coupe. Me Morice s'énerve : "Elle vous gêne ma question ?" J-L Périès : "Non, mais quand vous la posez avec insistance, et que vous avez des réponses, on peut avancer." Et le ton monte un peu. @fhollande écoute.#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
Réactions de Parties Civiles
#13novembre réaction de Philippe Duperron président de @13onze15 sur les premières declarations de @fhollande à l'audience pic.twitter.com/Attmkncmi0
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#13novembre réaction de @PatrickJardin14 après l'audition de @fhollande pic.twitter.com/7zbSiZtKLG
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Audition de François Hollande : Questions du Ministère public
#13novembre@fhollande :"Nous savions qu'il y avait là un potentiel. Un certain nombres de ces individus se sont retrouvés dans les attentats de Paris et de Bruxelles.
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre@fhollande répondant à l'avocate générale :"L'information circulait (entre les services de renseignement) autant qu'il était possible. La Belgique a fait face à des opérations qu'elle ne pouvait imaginer, nous étions nous je pense plus aguerris"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre@fhollande :"J'ai qualifié de guerre ce que ce groupe voulait faire sur notre territoire, porter la guerre. C'est un commando de guerre."
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Audition de François Hollande : Questions des avocats de la défense
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Ronen, avocate de Salah Abdeslam :"La chronologie que vous avez évoquée m'ennuie. Avez-vous en tête la date de la déclaration Al-Adnani contre les méchants et les sales français? @fhollande :"Oui"
Me Ronen : je l'aie aussi, le 21 septembre 2014
@fhollande : La cellule dont je parle en Irak et en Syrie en 2014 était constituée pour prévoir des attentats en Europe. C'est objectif que cette cellule existe depuis juin 2014.
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande "Le groupe est déjà organisé pour faire des attaques violentes sur notre territoire. Ils avaient déjà envoyé leurs agents avant les frappes en Syrie. Les phrases au Bataclan sont liés à la Syrie alors qu'ils étaient venus avant,c'était un discours plaqué"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande "Parce qu'il y aurait eu des victimes collatérales cela justifierait les attaques
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Ronen : non je ne vous laisse pas dire ça. C'est une question fermée, y a t-il eu ou non des victimes collatérales
#13novembre @fhollande : Je ne peux pas vous affirmer qu'il n'y a jamais eu de victimes collatérales ou qu'il y en a eues. En tous cas j'avais donné la consigne qu'il n'y ait pas de victimes collatérales.
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Ronen: je l'espère sinon c'est suspect.
#13novembre @fhollande : "Nous faisons en sorte par des frappes extrêmement ciblées qu'il n'y ait pas de victimes collatérales et s'il y en a eu je n'en ai pas été informé"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Ilyacine Maallaoui, avocat de l'accusé Ayari renchérit et estime que reconnaître des victimes collatérales de frappes françaises ne serait pas "une offense" aux victimes du #13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Ilyacine Maallaoui, avocat de Sofien Ayari : "Légalité et légitimité pour l'intervention, quelle est la balance"@fhollande :"Pour l'Irak, la légalité ne faisait pas de doute.
#13novembre @fhollande : Quand nous avons su qu'il y avait ce groupe-là, forts de nos informations en août 2015, j'ai décidé d'étendre les frappes à la Syrie pour user de la légitime défense"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande répondant à Me Maallaoui: "La France n'agit pas par prévention, elle agit quand elle est menacée. Des actes ont été commis tout au long du premier semestre 2015 avec pour le dernier le Thalys. On est dans la légitime défense, on est déjà attaqué"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Ilyacine Maallaoui a une dernière question sur la guerre.
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
François Hollande, ton humoristique : "Monsieur le président, je ne sais pas si ce procès nous permet de réviser la charte des Nations-Unies"
Président Périès : "On s'éloigne là, on s'éloigne..."#Procès13Novembre
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Edward Huylebrouck avocat de Muhammad Usman rappelle que les 3 assaillants du Bataclan étaient français, qu'ils sont passés en zone irako syrienne. Ca vous a interpellé qu'ils frappent des jeunes de leurs ages, concitoyens...
Un avocat de la défense demande s'il a été interpellé par les terroristes du #Bataclan ayant grandi en France ?
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
François Hollande : "Interpellé, oui..."Mais "c'est la faute de la République, de l'école ? Je ne veux pas entrer dans cette logique où ce serait à nous d'expliquer.
#13novembre @fhollande :"Je ne veux pas rentrer dans une logique ou ce serait à nous d'expliquer ce qu'il s'est produit. La plupart de ces individus n'avaient pas posé de problème à l'école ou dans leur famille. "
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "le nombre de résidents partis, revenus, morts, souvent dans des conditions atroces. C'était souvent sur des propositions mensongères que ces personnes étaient séduites"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "Cette école de la barbarie elle existe et heureusement que l'école de la République n'est pas responsable. "
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "Les générations qui viennent doivent se dire qu'il y a danger, qu'il peut y avoir danger. Il ne s'agit pas de religion mais de barbarisme, de fanatisme pour tuer"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Me Isa Gultalsar, autre avocat de l'accusé Ayari demande au président si les choix géopolitiques, et il cite un renouvellement, une répétition, guerre contre les Taliban, retour des Taliban, ces choix, cette répétition "aboutiront dans 20 ans à un autre procès" ?#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Ca n'est pas parce que nous intervenons dans un endroit qu monde que nous créons un problème. Nous n'avons pas d'intérêt économique ou commercial, ce que nous faisons nous le faisons car nous pensons que c'est juste"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "J'ai intensifié les frappes en Syrie car nous avions une preuve supplémentaire que nous étions attaqués. C'est pour cela que j'ai parlé d'actes de guerre"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : SI nous n'avions pas fait l'action de légitime défense, que m'aurait-on dit ce soir au procès? QU'on était resté inerte face à un groupe qui nous attaquait. Que nous n'aurions pas eu de mains, pas eu de bras pour protéger les nôtres ?"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Et Me Eskenazi pose sa question sur la France et la #Syrie.
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
François Hollande : "En fait, je comprends, les avocats de la défense sont dans la politique internationale, pas dans la politique pénale ! Mais je vais vous répondre"#13Novembre
#13novembre @fhollande :"Nous ne sommes pas intervenus car ni en droit ni en capacité nous pouvions le faire seul "
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande :"Pourquoi des jeunes ont pu aller jusque-là? C'est un processus que Daech a mené à bien, à inciter des jeunes à commettre des attentats sur leur territoire, dans leur propre quartier"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande répondant à Me Eskenazi : "Il y a eu beaucoup de combattants étrangers sur le territoire syro-irakien. La propagande infondée, on massacre tout ce qui existe sur ce territoire-là et avant tout des musulmans".
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "La démocratie a sa vitalité et sa force. C'est une des raisons pour lesquelles je suis venu à ce procès"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "Le juge Trévidic dit ce que nous savons, sa crainte.. Nous ne savons pas à quel moment ça va venir, nous faisons tout pour empêcher, interpeller"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : En 2015, c'est un groupe qui occupe un territoire qui nous fait cette guerre. Ce groupe a disparu, pas totalement, mais est incapable pour le moment de nous faire ce type d'opération comme le 13 novembre"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
#13novembre @fhollande : "Ce procès a cet enjeu-là, faire comprendre que la démocratie est plus forte que la barbarie. Nous sommes fiers d'avoir démantelé un groupe terroriste extrêmement puissant comme Daech"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
Le président Périès remercie le président Hollande.
— Sophie Parmentier (@sophparm) November 10, 2021
Salah #Abdeslam se lève dans son box.
Président de la cour : "Non, Monsieur Abdeslam, si vous avez des questions, vous passez par vos conseils".
Et Abdeslam se rassied.
Et le président Hollande quitte la barre. #13Novembre
"Ce témoignage, je le dois aux victimes" : François Hollande, un ancien président à la barre, au 42e jour du procès du 13-Novembre. https://t.co/Ri0dVK8WnB pic.twitter.com/0PjVOepOFZ
— France Inter (@franceinter) November 10, 2021
Fin de l'audience
#13novembre aucune déclaration donc de @fhollande après son audition. Et pourtant on a essayé. pic.twitter.com/PciQcwS1bc
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) November 10, 2021
François Hollande : "J'apprends qu'il y a des morts en nombre"
==================================================================================================================VIDÉO. « J'apprends qu'il y a des morts en nombre » : François Hollande raconte sa nuit du 13-Novembrehttps://t.co/VwuqvNNcx2
— Ouest-France (@OuestFrance) November 10, 2021
Dates clés des neuf mois du procès :
Associations d'aide aux victimes :
Site de l’Association Life for Paris, 13 novembre 2015.
Site de l’Association 13onze15.
Site de L’Association française des victimes du terrorisme.
Site de l'Association Fraternité-Vérité.
Guide pour l’indemnisation des victimes d’actes de terrorisme.