Le 16 septembre, septième journée :
Merci aux victimes et familles de victimes qui ont accepté que je les dessine #dessin #13novembre #proces13Novembre2015 #AttentatsDu13Novembre #13Novembre2015 @_LilLil_ pic.twitter.com/XDc6qaqZO3
— Elisabeth de Pourquery-Parmentier (@PourqueDe) September 16, 2021
Demain, l'audience sera consacrée aux constatations réalisées sur la scène de crime du Bataclan.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Un enquêteur en rendra compte à partir de 12h30.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Me Reinhart (PC) après la diffusion d'images montrant des scènes de crime à l'audience:"Le 1er élément qui frappe est le désarroi des enquêteurs, des enquêteurs qui ont 25 ans de boutique, 25 ans de criminelle (...)et ils arrivent ici avec leurs émotions 6 ans après" pic.twitter.com/yUHLDMye5U
#13novembre suite de la réaction de Me Reinhart qui considère que "30 secondes" de documents audio "pour le Bataclan demain c'est très court, peut-être trop court" . pic.twitter.com/iWYQNx8mSC
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
#proces13Novembre2015 L'émotion des enquêteurs face à des "scènes de guerre" https://t.co/QUehIevkUu @europe1
— Gwladys Laffitte (@Gwwla) September 16, 2021
#proces13novembre Jour 7 : "Tous les enquêteurs de notre groupe sont des enquêteurs expérimentés, qui ont déjà vu beaucoup de scènes de crimes. Mais lorsque l’on arrive sur place : c’est la sidération." Trois enquêteurs racontent trois scènes de crime https://t.co/CGQbKTj4Wi
— Charlie Hebdo (@Charlie_Hebdo_) September 17, 2021
La Bonne Bière :
#13Novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
L'enquêteur BC037 est à la barre, costume sombre, cravate, chemise blanche, barbe et cheveux poivre et sel, masque noir. Il va présenter une nouvelle scène de crime, avec des vidéos sans son.
Enquêteur : "le #13Novembre tous les membres de la brigade criminelle ont été rappelés. On s'est armés. Et on s'est rendus sur les lieux [de la Casa Nostra et de la Bonne Bière, ndlr]. A 23h15, je suis arrivé avec mon équipe, soit moins de deux heures après les faits."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
L'enquêteur explique que "ce soir-là, notre priorité a été de nous attacher aux personnes décédées", et à identifier les cinq corps retrouvés au niveau du restaurant La Bonne Bière.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Cinq personnes tuées en "56 secondes" précise le témoin à la barre.
Le président prévient : "s'il y a des gens qui veulent sortir, il peuvent le faire."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
La projection de la vidéo démarre. On voit les terroristes descendre de voiture, tirer en rafales. Les personnes en terrasses s'effondrer. Une autre ramper vers l'intérieur du restaurant.
L'enquêteur chargé des constatations au café La Bonne Bière raconte à son tour, ému, "les téléphones qui n'arrêtaient pas de sonner : On avait tous envie de répondre mais on ne pouvait pas."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Il se racle la gorge, avant de poursuivre son récit et la projection des images.
#13Novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Enquêteur BC037 décrivant les photos de La Bonne bière : "Les impacts de balles sont à hauteur des personnes assises ou au sol. La volonté de tuer est manifeste, il n'y avait pas d'ambiguïté"
A son tour, l'enquêteur cite une à une les victimes assassinées sur cette scène de crime : "Milko Pierre Jozic, Elise Dogan, Kheir Eddine Sahbi dont on a retrouvé les documents dans l'étui à violon près de lui, Lucie Dietrich où on a retrouvé sept passages de projectiles ...."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
#13Novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Enquêteur BC037: "Nous avons déplacé ces corps, nous les avons placés dans le restaurant Mac Donald's, devenu chapelle ardente"
#13Novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
L'enquêteur BC037 est encore bouleversé, sa voix traduit son émotion. Il s'interrompt, puis reprend.
L'enquêteur annonce la projection d'une deuxième vidéo, qui provient de la pizzeria Casa Nostra située juste en face : "elle dure 56 secondes, elle est violente également. Choquante. Comme pour l'autre vidéo, je m'en excuse de la diffuser mais c'est important pour comprendre."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
#13Novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Enquêteur BC037: "Au bout de 9 secondes on verra un individu se déplacer à droit du véhicule puis un impact sur la façade de la pizzeria (...) D'autres projectiles vont impacter l'ensemble de la pizzeria"
#13Novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Enquêteur BC037: "L'autre individu arrive ici avec une arme longue (..) On le verra tirer dans le reflet des vitres. Un client va s'enfuir, un autre se réfugier à la terrasse.
#13Novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Enquêteur BC037:Puis l'individu va revenir, arriver devant la porte, s'apercevoir que quelqu'un est caché au sol, allongé au sol, il va braquer, pointer avec son arme et là on ne sait pas ce qu'il se passe. Soit il n'a plus de cartouche soit l'arme est enrayée.
La vidéo débute. On y voit l'intégralité de l'attaque, depuis l'intérieur de la Casa Nostra. Les terroristes tirer. Les personnes en terrasses tombent. Une autre parvient à se réfugier dans la pizzeria. Puis un des terroristes s'approchent et achève une victime au sol.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
#13Novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Enquêteur BC037: "3 armes ont tiré sur la scène que je viens de vous expliquer (...) Les témoignages sur cette scène font état de 3 auteurs. La levée de doute est formelle. "
#13Novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Le président: Vous l'avez rappelé 5 personnes ont trouvé la mort dans cette attaque très violente comme le montre la vidéo, combien y a-t-il eu de blessés?
BCO37: ll y a eu 8 personnes en urgence absolue et 11 en urgence relative.
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
BC037 répondant à l'avocat général : "Ma conviction est que les auteurs ont concentré leurs feux sur les terrasses puis ensuite sur tout ce qui était à côté : les piétons...Ils ont tiré sur des personnes volontairement"
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
BC037 répondant à Me Reinhart: "Dans les affaires sur lesquelles je suis chargé d'enquêter, on a peu de victimes innocentes, de personnes qui sont là en train de passer le vendredi soir en terrasse avec des amis. "
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
BC037 répondant à Me Reinhart: "Habituellement, il y a des connexions entre auteurs et victime. Là, tout un chacun aurait pu se trouver à cet endroit-là"
Les enquêteurs se sont succédés à la barre, émus face aux images et vidéos de la police scientifique #13novembre #proces13novembre #AttentatsDu13Novembre #proces13Novembre2015 pic.twitter.com/Ei8EDJN2UF
— Elisabeth de Pourquery-Parmentier (@PourqueDe) September 16, 2021
Le petit Cambodge et le Carillon :
L'enquêteur qui s'avance à la barre souhaite rester anonyme. Il explique qu'il travaillait pour la section antiterroriste de la brigade criminelle et est intervenu sur la première scène de crime des terrasses, en l'occurrence le Petit Cambodge et le Carillon.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Enquêteur : "puis, on a mis de côté l'aspect humain et nos émotions pour se concentrer sur le professionnel."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Sa voix se raffermit et il entame son exposé sur les constatations effectuées ce soir-là, photos à l'appui.
L'enquêteur s'exprime un peu difficilement, on perçoit son émotion : "11 victimes se trouvaient sur la voie publique. Il n'y avait aucune victime à l'intérieur du Carillon même s'il y avait énormément de trace de sang. Il y avait deux corps à l'intérieur du Petit Cambodge."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
L'enquêteur indique : "nous avons pu travailler dans de bonnes conditions, les policiers avaient sécurisé la zone, personne n'est venu nous déranger. La seule chose qu'on entendait c'étaient les portables qui sonnaient sur les corps".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Enquêteur : "au total, pendant toute la nuit de constatations, nous avons saisis 121 douilles percutés sur cette scène de crime [du Carillon et du Petit Cambodge, ndlr]. Cela correspond à plus de 4 chargeurs de kalachnikov".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
L'enquêteur BC099 : "chacun des individus (terroristes) a fait feu sur chaque côté (il montre à l'écran). Je suis incapable de vous dire quel individu a tiré où"
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
enquêteur BC099 à la barre: "Ils (les terroristes qui ont visé le Petit Cambodge et le Carillon) visaient avec leur salve parfois une personne. Une victime présentait 36 orifices, 36 plaies par arme à feu"
L'enquêteur explique comment l'une des victimes a été tuée au volant de sa voiture : "la Clio s'est malheureusement engagée derrière la Seat qui a stoppé net et d'où sont descendus les trois auteurs."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
L'enquêteur BC099, costume bleu marine, chemise bleue, lunettes sur le nez, cheveux courts, châtains, a la voix qui tremble a plusieurs reprises pendant son témoignage.
L'enquêteur donne un nouveau chiffre pour rendre compte de la rapidité de cette première attaque, par les trois terroristes du commando des terrasses : "121 cartouches ont été tirées en l'espace de deux minutes et 31 secondes exactement."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Me Reinhart (PC) demande à l'enquêteur s'il peut qualifier la tuerie.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Celui-ci répond : "il ne m'appartiens pas de le faire. Je peux juste vous dire que nous avons 36 orifices par balle sur une victime, 22 sur une autre, 14 sur une troisième. Je vous laisse vous-même qualifier."
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Me Berger-Stenger (avocate de la partie civile) revient sur cette lacune de l'enquête concernant les gardes républicains qui étaient présents au Stade de France le 13-11-15 pic.twitter.com/60BQ6e7APm
Stade de France - Saint-Denis :
Le premier témoin, Xavier Vo-Dinh, 48 ans qui n'a pas demandé à être anonymisé rappelle le président, s'avance à la barre.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Il annonce qu'il fera "projeter des photos pour illustrer [s]on propos".
Le président rappelle qu'il y aura la projection de vidéos au Stade de France.
L'écran géant est abaissé derrière la cour. La première image projetée est "un plan assez large pour comprendre la situation du Stade de France". Les portes de A à J y sont renseignées. "La première explosion a eu lieu à hauteur de la porte D "au niveau du restaurant Events".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Sur une autre photo, on découvre la vitrine du restaurant Events, brisée par l'explosion du première kamikaze. De nombreux débris de verre sont au sol.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
L'enquêteur précise : "j'éviterai au cours de mon exposé de projeter des photos avec des corps ou des débris de corps".
Sur la photo suivante, un carré blanc a été ajouté pour cacher le corps du premier kamikaze. L'enquêteur détaille : "la jambe gauche a été arrachée, mais elle est toujours reliée au corps par les vêtements, le bras gauche est manquant."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Xavier, enquêteur de la section antiterroriste de la brigade criminelle en 2015 : "La victime était porteuse d'une alliance, avec une gravure à l'intérieur"
L'enquêteur poursuit les projections des photos des alentours du Stade de France, cette fois au niveau de la porte H où a eu lieu la 2e explosion.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Sur un plan, il montre "la zone de dispersion : on va retrouver des débris de l'engin explosif jusqu'à 50m de l'épicentre".
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Xavier,enquêteur de la section antiterroriste de la brigade criminelle en 2015 : "On va rassembler des corps et des parties de corps. Tête et bras gauche devant la buvette. Individu de type nord africain, haut rouge du Bayern de Munich. "
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
l'enquêteur Xavier de la section antiterroriste de la brigade criminelle en 2015 passe à la 3e explosion, survenue à 21h43, rue de la cokerie. photo à l'appui :"une partie de corps a été retrouvé sur une façade du stade de France"
L'enquête poursuit avec "les constatations rue de la Cokerie", située à 150 mètres du Stade de France, où a eu lieu l'explosion du troisième kamikaze.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
Enquêteur : "pour les 3 kamikazes, les conclusions du légiste attestent d'une mort instantanée par fragmentation. S'agissant de la victime, lors de l'autopsie, onze écrous vont être découverts sur le corps dont un au niveau du poumon et qui est à l'origine du décès de la victime"
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Xavier, enquêteur de la section antiterroriste de la brigade criminelle en 2015 précise concernant Manuel Dias, première des 130 victimes :"Lors de l'autopsie, 11 écrous sont découverts sur le corps de la victime dont un au niveau du poumon, à l'origine du décès"
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Le président à l'enquêteur de la section antiterroriste de la brigade criminelle:pourquoi ce décalage entre les 2 premières explosions & la 3e (21h16-21h20 & 21h53)
enquêteur : Je n'ai pas d'explication à un déclenchement tardif par rapport au 2 premières explosions
L'enquêteur donne des éléments pour tenter d'expliquer le lieu et l'heure de la 3e explosion :"on le voit se diriger vers le RER B, peut-être a-t-il espéré trouver plus de monde au RER ? En tous cas, il a marché jusqu'à trouver un groupe pour faire le plus de victimes possibles"
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 16, 2021
#13novembre
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
l'enquêteur de la section antiterroriste de la brigade criminelle (sur les attentats au Stade de France): "Je crois savoir que le bilan définitif est de 143 blessés"
Il répète cette expression déjà utilisée plusieurs fois "le pouvoir vulnérant des explosifs"
Procès - Jour 7 : l'audience est reprise
#13novembre #procès Jour 7 pic.twitter.com/f62Q7r5y4i
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
#13novembre #procès Jour 7 pic.twitter.com/TmHOVxyzSO
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
#13novembre Quelques rares parties civiles (30 max) sont présentes dans la salle d'audience,avec 1 majorité de tour de cou rouge (qui ne souhaitent pas répondre aux questions des journalistes).La salle de retransmission principale pour les PC étaient vides il y a quelques minutes
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
#13novembre Le président : "L'audience est reprise, veuillez vous assoir."
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
#13Novembre2015 #proces13novembre les enquêteurs projettent les photos de la scène de crime @franceinfo @France2tv pic.twitter.com/v7TWpH1eDh
— Elisabeth de Pourquery-Parmentier (@PourqueDe) September 16, 2021
#13novembre Le président : "Nous allons recevoir une constitution de partie civile à titre exceptionnel car la personne doit repartir à l'étranger". Un homme arrive à la barre, il se constitue partie civile pour sa "fille Aurélie grièvement blessée au Carillon".
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 16, 2021
Le 15 septembre, sixième journée :
Voici le compte-rendu web @franceinter de ce jour 6 au procès des attentats du #13Novembre avec les dessins de @ValPSQR.
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
"On a visé la France pour qu'elle subisse la même douleur" a clamé Salah #Abdeslam. Il a dit vouloir "être sincère" face aux victimes.https://t.co/FD4NcbB77t
Réactions des parties civiles :
#13novembre réaction de Georges Salines, papa de Lola, décédée au Bataclan :"c'était extrêmement intéressant et utile d'avoir la position de chacun des accusés" pic.twitter.com/E19sUXV7IM
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
#13novembre réaction de Georges Salines, père de Lola, décédée au Bataclan :"Salah Abdeslam nous explique qu'ils voulaient frapper la France et pas des personnes innocentes et en fait ils ont frappé des personnes innocentes bien entendu" pic.twitter.com/rqVpW1CDVd
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
#13novembre2015 réaction de @so__parra , rescapée du Bataclan (suite) pic.twitter.com/eMzhprgk4P
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
#13novembre2015 réaction de @so__parra , rescapée du Bataclan pic.twitter.com/Haq294McD6
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
#13Novembre2015 réaction de David, otage du Bataclan le 13-11-15: Je ne m'attendais pas à ce qu'après une semaine de procès il (Salah Abdeslam) décomplexe le propos en disant 'je vous ai visés vous n'êtes pas responsables'. C'est d'une facilité et d'une violence inouïe" pic.twitter.com/jhGSOSrnMB
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
Déclarations des accusés :
#13nov #proces13Novembre2015 #AttentatsDu13Novembre #Abdeslam fait une déclaration dans le box, il assume ses actes pic.twitter.com/jPxa5XibM3
— Elisabeth de Pourquery-Parmentier (@PourqueDe) September 15, 2021
Salah #Abdeslam conclut : "On dit souvent que je suis provocateur mais moi je veux être sincère et ne pas leur mentir. Je vous remercie de m'avoir écouté. Je n'ai rien à ajouter". Et il se rassied dans l'angle du grand box de verre.#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Salah #Abdeslam : "Je sais que certains de mes propos peuvent choquer. Le but n'est pas de blesser les gens.
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Pas d'enfoncer le couteau dans la plaie. Mais être sincère, envers ces personnes qui subissent une douleur incommensurable".#13Novembre
Salah #Abdeslam : "En 2003, Jacques Chirac a refusé de donner son soutien aux Américains" (pour la guerre en #Irak) sous prétexte d'une haine anti-Français et des attaques meurtrières. C’est exactement ce qu’il se passe aujourd’hui".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Salah #Abdeslam : "Quand François Hollande a pris la décision d'attaquer, il savait qu'à cause de cette décision, des Français allaient rencontrer la mort".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Salah #Abdeslam : "J’ai entendu François Hollande dire que nous combattons la France pour vos valeurs et vous diviser. C’est un mensonge manifeste".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Salah #Abdeslam : "Les avions français ne font pas la distinction entre les hommes, les femmes et les enfants. On a voulu que la France subisse la même douleur que nous subissons."#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Salah #Abdeslam poursuit : "Ces radicaux sont des musulmans. Alors moi je vous dis : on a combattu la France, on a attaqué la France, on a visé la population des civils, mais en réalité, on n'a rien de personnel vis-à-vis de ces gens-là. On a visé la France".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Salah #Abdeslam : "Moi je serai peut-être un peu plus long. Je voudrais d’abord faire une petite précision par rapport à ce qui s’est passé hier. La juge hier a parlé de terrorisme radical. Ces termes créent de la confusion.
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Il ne s’agit que de l’islam authentique" #13Novembre
#13novembre Salah Abdeslam, vêtu de noir, masque noir :"Hier la juge a parlé de terrorisme et de radicalisme. Ces terles créent la confusion. En réalité il ne s'agit que d'islam authentique. Ces gens-là sont des musulmans.
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
Accusé Mohamed Abrini : "Monsieur le président, je reconnais ma participation aux attentats. Mais je ne suis pas Oussama Atar. Dans ce malheur qui a touché la France, je ne suis pas le commanditaire ni le cerveau. J’ai apporté aucune aide logistique financière".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Accusé Mohamed Amri : "On m’a collé une étiquette de terroriste alors que je suis pas un terroriste, monsieur le président".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Yassine Atar conclut : "Je condamne avec la plus grande fermeté tout ce que j’ai entendu sur Oussama Atar".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Yassine Atar poursuit : "J’ai à coeur de m’expliquer. Je suis innocent, pour une fois. Moi je ne suis pas Oussama Atar". Oussama Atar est son grand frère, commanditaire présumé des attentats #13Novembre et présumé mort en #Syrie
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Accusé Yassine Atar : "Je condamne avec la plus grande fermeté. Toutes les victimes, je leur souhaite bon courage. Je sais que c'est pas facile pour eux d’être là".
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Il leur fait part de sa compassion.#13Novembre2015
Accusé Mohamed Bakkali : "Monsieur le président, je reconnais avoir commis certains actes et j’en conteste d’autres, voilà".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Accusé Sofian Ayari : "Monsieur le président, j’ai pas de déclaration à faire aujourd'hui".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Accusé Ali El Hadad Asufi : "Monsieur le président, mesdames et messieurs de la cour, j’ai pas participé à la préparation des attentats". #13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Accusé Adel Haddadi : "Ca fait six ans que j’attends ce procès, je suis victime aussi. Je sais, j’ai fait des fautes, je vais les réparer. Je vais répondre à toutes les questions".#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
#13novembre Dans le box l'accusé M.Kharkhach "je n'ai jamais su que les faux papiers allaient amener à ce massacre" Il parle de la "douleur des victimes". "Je vous jure que je n'ai rien fait, que je ne savais pas du tout, que je n'étais pas au courant"
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
Dans le box, Osama Krayem, Suédois, répond en langue étrangère avec une interprète : "pour moi c'est prématuré de vous indiquer ma position des faits, je répondrai plus tard"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
#13novembre Dans le box l'accusé Usman : "Je sais pourquoi je suis ici. Je suis très content de ne pas avoir participé à ce massacre. Je vais répondre à toutes les questions. "
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
Accusé Hamza Attou, lui aussi sous contrôle judiciaire : "Je reconnais avoir voulu chercher Salah #Abdeslam. A aucun moment, je n'ai voulu faire du terrorisme". #13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Accusé Abdellah Chouaa : "J'étais très choqué pour tous les attentats à Paris et Bruxelles, très ému. Je suis devenu marâtre avec ces accusations. J'ai rendu malade ma famille. J'ai 3 merveilleux enfants à la maison. J'espère que justice soit faite. Je suis innocent"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
Et le président commence par appeler Ali Oulkadi, accusé sous contrôle judiciaire. Il souffle : "j'attends cette audience depuis longtemps maintenant et je suis prêt à répondre à toutes les questions sur les faits qu'on me reproche"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
#13novembre Le président: "Ca n'est pas un interrogatoire, nous leur demandons d'éclairer la cour et les parties. Nous allons commencer par le sens inverse, par les accusés qui sont libres. "
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
Le président : "bien, nous allons donner la parole un bref instant à chacun des accusés pour qu'ils précisent leur position par rapport à la mise en accusation. Ce n'est pas un interrogatoire"#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
La sonnerie retentit. L'audience reprend. Jour 6.#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
#13Novembre2015 Un par un, les accusés ont pris la parole au micro à l'ouverture d'audience ce midi. Dessin pour @le_Parisien https://t.co/ji0B0z5tQ2 pic.twitter.com/RXrkJBNZ2d
— Valentin Pasquier (@ValPSQR) September 15, 2021
#proces13Novembre2015 le box et les 14 prévenus
— Elisabeth de Pourquery-Parmentier (@PourqueDe) September 15, 2021
Les photos des kalachnikov utilisées pour les attentats projetées lors de l'audience, derrière la cour, et le président de la cour d'assises Jean-Louis Périès pic.twitter.com/FBE9t47A70
Début de la sixième journée :
Sur les 20 accusés jugés, six sont jugés par défaut, dont cinq présumés morts en #Syrie. Mais sans preuve formelle de leur mort, la justice française les juge quand même.#13Novembre
— Sophie Parmentier (@sophparm) September 15, 2021
#procès13novembre Jour 6 arrivée au palais de justice pic.twitter.com/lUbVlXsfPf
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
#procès13novembre Jour 6 arrivée au palais de justice
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 15, 2021
Et c'est encore Ludo de l'équipe cynophile qui est au contrôle #gendarmerie pic.twitter.com/2DCsoPgdfD
Bonjour à tous,
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 15, 2021
Au procès des attentats du #13Novembre la salle d'audience vient d'ouvrir dans la perspective de la reprise d'audience à 12h30.
Petite précision d'ailleurs, en réponse à de nombreuses questions sur ces débuts d'audience en décalé ...
L'autre raison, plus secondaire, est de permettre à tous les professionnels du procès de pouvoir travailler le matin. Le président du procès des attentats de janvier 2015 a par exemple expliqué qu'il se levait tous les jours à 4 heures du matin pour travailler avant l'audience.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 15, 2021
Victimes par ricochet : Camille Emmanuelle, femme de Luz rescapé des attentats de Charlie Hebdo, a enquêté sur les conséquences pour les proches de victimes.
— C à dire - France 5 (@CaDireF5) September 14, 2021
Elle était hier, l'invitée de C à Dire ?! #CAD sur @France5tv pic.twitter.com/bTv8E0KJKT
Le 14 septembre, cinquième journée :
#13novembre le compte-rendu d'audience après le passage à la barre de la juge antiterroriste belge Isabelle Panou https://t.co/HrhuQzyGa6
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 14, 2021
Deuxième partie - Deuxième semaine
Me Seban (PC) : "pourquoi la France ?"
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
Isabelle Panou : "c'est une question que je leur ai posée. Et les réponses sont parfois très étonnantes. Par exemple, Abrini vous dit : "c'est la politique de la France". Mais ils ont pas été capables de me dire grand chose".
Isabelle Panou poursuit sur les motivations des terroristes : "c'est très général. Et je n'ai pas été très avancée. On reste sur des dires "on viole les femmes et on tue les enfants". C'est peut-être le cas en Syrie. Mais c'est un peu faible comme explications."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
Isabelle Panou : "cela ne posait aucun problème de payer à l'avance trois ou quatre mois de loyers. Ils abandonnaient des garanties locatives sans aucun problème. Il y a de l'argent, c'est certain. Il y a des trafics de stupéfiants ... plein de financements possibles".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
Isabelle Panou interrogée sur les modes de financement des terroristes :"on les soupçonne d'avoir fait un vol de cigarettes, de la criminalité. Et puis il y a un financement international, d'Angleterre par exemple. Une chose certaine c'est qu'il y avait des sous !"
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
Isabelle Panou : "c'est important de comprendre qu'il y a des personnes qui n'étaient pas sur les scènes de crime parisiennes. Vous les appelez comme vous voulez : logisticiens, tireurs de ficelles ... mais il faudra déterminer leur rôle sur le plan judiciaire."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
Isabelle Panou : "ce qui nous a permis d'avancer ce sont les déclarations d'Osama Krayem [accusé de ce procès, ndlr]. Il nous a dit que les armes venaient de Hollande".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
La juge d'instruction belge Isabelle Panou évoque les investigations sur l'origine des armes. : "je ne veux pas choquer en disant ça mais ce qui a vraiment causé des dégâts terribles au niveau humain à Paris ce sont les armes. A Bruxelles, ce sont les explosifs."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
Isabelle Panou poursuit au sujet d'Oussama Atar : "mais bon, ce n'est pas un enfant de choeur. C'est un vrai combattant. Et c'est quelqu'un qui a cette aura, ses proches le disent, pour convaincre les gens. "
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
La témoin du jour s'avance à la barre.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
"Vous m'autorisez à retirer le masque?" demande-t-elle d'emblée.
Oui. "Ah, je le retire. Je suis vaccinée".
La juge d'instruction décline son identité : "Isabelle Panou, 53 ans".
Isabelle Panou : "si je dois retenir 5 noms dans le dossier des attentats de Paris, il y a : Abdelhamid Abaaoud [coordonnateur, ndlr], Ibrahim et Khaled El-Bakraoui [logisticiens, ndlr], Oussama Atar [commanditaire, ndlr] et je rajoute Najim Laachraoui [artificier, ndlr]".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
Isabelle Panou : "Abdelhamid Abaaoud qu'est-ce qu'il vise ? Il vise à détsabiliser un Etat. Et comment on déstabilise un Etat ? La terreur et les symboles. En faisant un maximum de victimes."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
Première partie - Deuxième semaine
La juge belge Isabelle Panou : "Abdelhamid Abaaoud [coordonnateur des attentats du #13Novembre 2015 mort dans l'assaut de Saint-Denis le 18/11/15], je l'ai traqué. Pendant des années, je l'ai traqué. Mais je ne l'ai jamais eu dans mon cabinet".
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
La juge d'instruction belge Isabelle Panou a achevé sa présentation. Elle répond maintenant aux questions des avocats de parties civiles.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
Retrouvez d'ores et déjà le compte-rendu du jour ici > https://t.co/SjDUn6UAt5
#13novembre Isabelle Panou, juge belge :"le dossier des attentats de Paris est le plus extraordinaire, dans le sens qui sort de l'ordinaire. Peut-être celui où la collaboration internationale a été la plus aboutie en matière de terrorisme
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 14, 2021
#Abdeslam #salahabdeslam dans le box, écoute attentivement le rapport détaillée de la juge belge.#13Novembre2015 #proces13Novembre2015 #13novembre #Justice pic.twitter.com/SWzgSqoZum
— Elisabeth de Pourquery-Parmentier (@PourqueDe) September 14, 2021
#13novembre La juge belge Isabelle Panou cheveux au carré, tout de noir vêtu, collier Chanel. :"Comment exposer 5 ans d'instruction en quelques heures. Je vais vous faire un exposé général (..) Il va être suivi du passage des enquêteurs belges et français. "
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 14, 2021
Isabelle Panou : "la fonction de juge d'instruction en Belgique est sensible la même qu'en France. Sauf sur la détention préventive. En Belgique, c'est le juge d'instruction qui décide de place les personnes sous mandat d'arrêt."
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
La juge belge de l'antiterrorisme Isabelle Panou assise à la barre du tribunal, détaille ses investigations menées pour l'enquête #13Novembre2015 #13Novembre2015 #proces13Novembre2015 pic.twitter.com/8JLi51gV3S
— Elisabeth de Pourquery-Parmentier (@PourqueDe) September 14, 2021
La témoin du jour s'avance à la barre.
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
"Vous m'autorisez à retirer le masque?" demande-t-elle d'emblée.
Oui. "Ah, je le retire. Je suis vaccinée".
La juge d'instruction décline son identité : "Isabelle Panou, 53 ans".
#proces13Novembre2015 #proces13novembre #AttentatsDu13Novembre la juge belge antiterroriste Isabelle Panou auditionnée au procès. Elle raconte comment elle a dirigée son enquête. pic.twitter.com/8jsIkr8Kod
— Elisabeth de Pourquery-Parmentier (@PourqueDe) September 14, 2021
#13novembre Le président demande à M. l'huissier de faire rentrer le témoin. La juge antiterroriste belge Isabelle Panou va prendre la parole pour une présentation générale de la procédure.
— Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 14, 2021
Hier, SDAT99 a témoigné pendant 5 heures debout. Aujourd'hui, une chaise a été installée
#13Novembre2015 #proces13Novembre2015 les avocats des parties civiles pic.twitter.com/L8ukwfR6b7
— Elisabeth de Pourquery-Parmentier (@PourqueDe) September 14, 2021
Bonjour à tous,
— Charlotte Piret (@ChPiret) September 14, 2021
La salle d'audience vient d'ouvrir avant la reprise prévue à 12h30. Aujourd'hui, la cour entend la juge d'instruction belge Isabelle Panou pour évoquer l'enquête du côté belge.
Un Procès pour l'Histoire
"Les ombres du Bataclan" -
À la veille du procès des attentats du 13 novembre 2015, ce documentaire fouillé, coécrit avec le président de la commission d’enquête parlementaire Georges Fenech,
revient sur les dysfonctionnements qui ont jalonné une nuit tragique
. - voir la vidéo - ARTE TV - ci-dessus.
Les 130 morts des attentats du 13 Novembre 2015 sur le titre "les enfants paradis" en hommage aux victimes de Damien Saez
Cette mélodie ne me quittera jamais...
— Nadia MOSTEFA (@NadiaRoberta34) September 8, 2021
Pensées aux victimes & parties civiles... 🙏#13Novembre2015 #13Novembre pic.twitter.com/1C1nsght5A
Des visages sur des noms, ces 8 prochains mois leur sont dédiés... https://t.co/MDLv6Yo5bb
— Stéphane Bommert (@StephaneBommert) September 9, 2021
A 8H dans la Matinale Info, l'ensemble de la rédaction s'est succédé pour lire les prénoms, noms et âges des 130 victimes des attentats du #13novembre 2015.
— RCJ RADIO (@RCJRADIO) September 9, 2021
Parce qu'il nous semblait essentiel aujourd'hui de prononcer leurs noms et pas ceux des terroristes. ⚖️ pic.twitter.com/LsDAXVAJxk
" L’essence même du procès criminel, c’est le respect de la norme, l’application de la procédure pénale et le respect des droits de chacun à commencer par les droits de la défense."
— Eric Maurel - Procureur Nîmes (@procureurNimes) September 8, 2021
Jean-Louis Peries,
président du procès des attentats du 13 novembre pic.twitter.com/wvXpWyF0I6
Bataclan, un procès pour l’Histoire :